Crise de -280

L'Atropatène et l'Ibérie viennent officiellement de se déclarer en cessation de paiement. Ils ont déclarer qu'ils ne paieraient pas leurs créanciers et préfèrent payer leurs mercenaires.

Afin de faire contre-poids à la série de cessation de paiements des états, qui grève de façon dramatique le commerce mondial, la ligue Ionienne met en place la mesure suivante:

-L'ensemble des créanciers, usuriers et préteurs sur gages de la ligue sont placés sous la juridiction de "l'institut publique de crédit Ionien", créé pour l'occasion.


Cet institut prend les mesures suivantes avec effet immédiat:
-Plafonnement des taux d'intérêts à 25% pour les crédits privés effectué par des organismes Ioniens.
-Garantie étatique à hauteur de 50% pour les crédits effectués par des créanciers Ioniens, et pour les crédits contractés par des Ioniens.
-Mise en place d'un crédit publique contractable par les particuliers et entreprises privées en difficultés de toute nation du bassin méditerranée (sous couvert de l'acceptation par l'état d'origine) avec un taux de 20%, sous réserve d'un projet estimé viable par l'institut.


L'autre solution, si le nombre de liquidités en circulation diminues, est de réduire les couts d'exploitation, principalement de transport dans notre cas. Ainsi, le gouvernement Ionien met en place les mesures suivantes:
-15% de la flotte de guerre de l'état sera mise à disposition des marchands du bassin méditerranéen pour le commerce à prix coutant.
-Tout navire mouillant dans un port Ionien devra renseigner à la capitainerie sa destination prochaine et la place vacante restant à son bord. Il pourra lui être imposé de compléter sa cargaison par celle d'un autre marchand, pour un prix ne pouvant excéder 110% du prix coutant.
-L'état plafonne le prix facturé par les chantiers navals de la ligue pour réparer un navire de commerce, quel que soit sa provenance, à 115% du prix coutant.


La ligue Ionienne encourage les nations du pourtour, particulièrement celles se portant bien, à aller dans le même sens que nous.


HRP: Faut-il que j'alloue des fonds pour rendre cela efficace? Si oui, combien serait un minimum? (Je n'ai pas une trésorerie infinie)

La ligue confirme donc l'octroi de 5 000 drachmes de subventions à l'industrie artisanale et navale.

La ligue modifie le premier point:

-L'état propose, pour tout les marchant du bassin méditerranéens, l'accès à des prêts à des taux de 25% proposés par les organismes privés Ioniens.
Ces organismes déterminent les taux habituels, seulement, l'état prendra en charge les intérêts supplémentaire.
En échange, afin de rentrer un minimum dans ses frais, l'état acquière 15% des bénéfices de l’expédition financée par ses soins. (Ce qui a pour effet de favoriser le lancement d’expéditions, sans pour autant plomber les bénéfices de celles-ci, puisqu'ils économisent d'important frais au départ en échange d'une légère ponction des bénéfices, et donc ce qui implique que l'expédition ai été bénéficiaire).
5 000 drachmes sont également attribués à cette entreprise.

Soit 10 000 au total.

Massalia rejoinds la sage politique de la Ligue Ionienne et propose à cette dernière, dans le but d'éviter des risques inutiles, de la limité à la Méditerranée Occidentale, mais aussi une unification des poids et des mesures des deux états.

Tu dépenses aussi 10 000 Deniers ou pas ?

Pardon, oui je dépense aussi 10 000 deniers.

Afin d'accroitre les échanges entre les économies encore plus ou moins saines et avoir accès plus facilement aux marchés gaulois, la ligue Ionienne accepte les propositions de Massilia.
Elle annonce également restreindre ses mesures aux nations avec lesquelles elle a signés des accords commerciaux.



HRP: Les effets sont décuplé ou non?

Peut-être pas décuplés ... Mais accrus ...

Le Sénat Romain à décider, suite au récent évènement, de couper tout commerce avec l'Empire de Ptolémée et l'Empire de Séleucos. Le Commerce avec la Ligue Étolienne reste, mais de justesse, Rome considère que les routes commerciales vers la Grèce, l’Égypte et l'Asie ne sont plus viable.

Afin de maintenir le commerce la Ligue Etolienne propose aux Ligues de Corinthe et d'Achéie la chose suivante :

Création d'un grand canal passant par Megare et Corinthe allant se jeter en mer Ionienne et Egéenne. Ce canal permettrait une reprise du commerce entre l'Egée, la Ionie et l'Adriatique sans passer par les dangereuses eaux du sud. Afin de mener ce projet celons nous important nous demandons aux nations d'Egée, de Ionie et d'Adriatique de nous aider à rassembler des fonds pour la création de ce canal qui permettrait uen relance économique avec un commerce plus simple, pour notre part nous sommes déjà prêt à investir 2.000 Drachmes si les deux Ligues de Corinthe et d'Achéie acceptent.

De tels travaux seraient bien trop coûteux si ils sont réalisables ce dont nous doutons sérieusement... Modeler ainsi la terre et en venir à controler autant les eaux est le propre des Dieux, non des Hommes.

La Macédoine ne peut que s'opposer à une telle proposition.

Suite à une concertation avec les membres du conseil Etolien il a été déduti que la macédoine avait raison et qu'un tel édifice serait bien torp difficile à réaliser. Pour compenser la Ligue Etolienne propose la création d'une grande route commerciale, partant de Corcyra qui pourrait accueillir les marchands des autres pays elle irait jusqu'à Céphalonie qui pourrait à son tour servir de point de rassemblement des marchands, passant ensutie par le grand détroit jusqu'à Corinthe là-bas les échanges commerciaux se feraient en premier pendant que les marchandes repartiraient d'autres venant d'Egée viendront donner leurs marchandises et acheter celle venant de Ionie à Corinthe avant de repartir en Egée afin de relancer. Malgré aucun accès direct ceci permettrait un relancement économique mineur malgré tout avec la reprise du'n commerce abondant si les nations concernés (la Ligue de Corinthe donc) acceptent et que des investissement en conséquence sont faits.

Nous allons y réfléchir avec la Ligue de Corinthe. C'est le commerce à outrance qui nous a conduit à cette crise et l'a propagé ne l'oublions pas.