Accords culturels et religieux

252 :

Le Pontifex Maximus, dirigeant des cultes à Rome, propose aux nations de culture hellène les accords culturels et religieux suivants :

De : Rome, descendante de Iulius-Ascagne, fils d'Enée, petit-fils de Venus-Aphrodite Genitrix

A :
Egypte,
Macédoine,
Empire Séleucide,
Ligue Ionienne,
Pergame,
Bythinie,
Epire,
Ligue Etolienne,
Sparte,
et toute nation de culture hellène

d'accomplir :

1) autoriser et favoriser la libre circulation des artistes et savants entre Rome et leurs pays, (échanges de conférenciers par exemple)
2) autoriser et favoriser la libre circulation des ouvrages culturels entre Rome et leurs pays, (diminution de droits de douane par exemple sur ces produits)
Rome s'engage à la réciprocité des mesures.

3) autoriser le Pontifex Maximus à se rendre en pélerinage au nom de Rome et des descendants d'Enée dans les lieux suivants : Sanctuaires de Dodone en Epire, de Delphes et Olympie, Oasis de Siwa en Egypte, et à Troie d'où est issue le peuple romain.

La Ligue Etolienne reporte à la Ligue Egéenne la question, le conseil décidera mais la voix Etolienne est négative.

La Ligue Achéenne, l'Epire, et Pergame trouvent que cela est une excellente idée, et un excellent moyen de passer l'éponge sur les vieilles dissensions entre Rome et les Grecs. La Ligue Egéenne accepte donc par 3 voies contre 1.

La Bythinie attend l'approbation de la Macédoine avant de donner un avis.

Nous allons donc nous entretenir de manière privée avec la Bythinie afin de nous fixer sur le comportement à adopter suite à une telle proposition.

Cependant, il conviendrait avant tout de parler de la place de langue grecque au sein du territoire romain...

Puissant roi de Macédoine, glorieux successeur d'Alexandre le Grand,

Je ne puis parler pour la Res Publica romaine, mais dans le domaine des cultes et des sciences, la langue de nos ancêtres est respectée et aimée. Le Pontifex Maximus, Lucius Cornelius Lentulus Caudinus, désire promouvoir la langue des Hellènes dans le domaine des arts avec le concours de la Macédoine et de tous les Etats grecs qui accepteraient cet accord.

Une telle réponse aidera la Bythinie et le royaume de Macédoine à statuer sur une telle décision. Cependant, nous souhaiterions la réponse unanime du monde latin quand à ce sujet. De même, cela pourrait être l'occasion de discuter de la place du culte des dieux de l'Olympe en territoire romain.

De ce fait, nous proposons l'ouverture d'une ambassade particulière entre le monde latin et la Macédoine et la Bythinie.

Les Macédoniens peuvent se rassurer, les Massaliotes ne seront pas forcés d'apprendre le latin. Les Romains estiment grandement la culture grecque et ne demandent qu'à établir une collaboration intellectuelle fructueuse avec eux.

L'Égypte accepte les accords si Rome consent à se que des scribes puisse ratisser l'Empire Romain afin de copier livre de tout les horizons et de tout les sujets afin de garnir un peu plus la Grande Bibliothèque d'Alexandrie, qui se veut un phare (ah ah ah!) du savoir du monde civilisé.

Nobles souverains,

(HJ : Tout d'abord bon retour à la Macédoine )

Ô Souverain des Deux Terres, Roi de Haute et Basse Egypte, Puissant Basileus,

les artistes et savants Egyptiens pourront bien sur accéder aux bibliothèques publiques où se conservent les ouvrages latins, nous ne pourrons par contre étendre ce droit aux bibliothèques privées et possessions des citoyens, ni sauf accord du pontifex Maximus aux bibliothèques sacrées où seuls les prêtres peuvent accéder.

Néanmoins, le gouverneur d'Etrurie accorde le libre accès aux savants Hellènes à sa bibliothèque personnelle. De plus, les savants grecs pourront demander appui au gouverneur pour toute copie de livres venant d'une bibliothèque privée.




Ô Puissant basileus de Macédoine,

Avons nous ton acceptation pour ces accords ?

Rome à l'acceptation des accords, cependant, nous pensons que le résultat de nos négociations doivent aussi être annoncé si le Pontifex Maximus n'y voit pas d'inconvénient. En effet, nous souhaiterions que chacun sache désormais ce qui fut négocier afin que cela soit respecté quoi qu'il advienne.

Qu il en soit selon la volonté de la Macédoine.


En fait je n ai pas très bien compris ce que voulait la Macédoine ! Je reprends donc les points ajoutés à l''accord :

Bienveillance et tolérance : aucune contrainte des Grecs en général et des Massaliotes en particulier pour abandonner leur langue et leur culture.

Venue du Pontifex Maximus dans les sanctuaires olympiens pour reconnaissance de l'importance des dieux olympiens.

Faut-il rajouter quelque chose ?

La Macédoine et la Bythinie sont donc favorables à l'accord.

N'oublions pas aussi ce point que fut discuter: "la langue grecque sera désormais langue d'enseignement à égalité avec la langue latine. Les professeurs pourront être grecs, tous comme les élèves. Aucune discrimination ne pourra être faite contre une personne du fait de sa langue grecque."

Voici l'indication demandée :

Gens Cornelia d'Etrurie a écrit:

250 : Addenda au décret précédent

Les savants et artistes des pays ayant paraphé le traité précédent pourront enseigner dans les établissements supérieurs du monde romain, en particulioer à Massalia, en langue grecque.

En aucun cas les Massaliotes ne sauront obligés d apprendre le latin contre leur gré.

Nous signons donc le traité et invitons notre ami bythinien à faire de même.

La Bythinie accepte-t-elle le traité puisqu'il a la faveur de la Macédoine ?

Oui, elle l'accepte.