Etat-Major

Troupes actuelles : 106 200 hommes (max) (Niveau 5)

- Salonique
> 23 régiments d'infanterie légère
> 69 régiments d'infanterie
> 31 unités d'artillerie

Le Pirée
> 2 cuirassés
> 5 unités de barges de transport
> 7 destroyers
> 21 croiseurs légers

- Agia
> 8 destroyers
> 15 croiseurs légers


Entretien annuel :
>549 000 drh jusqu'en 1903 (3 ans)
>1 765 000 drh entre 1903 et 1904 (1 an)
>7 831 000 drh entre 1904 et 1905 (1 an)
>7 628 000 drh entre 1905 et 1906 (1 an)

Des théâtres Grecs :


- Crête :

Des officiers Grecs sont envoyé en Crête autonome afin de former les milices locales, qui se sont prouvées efficaces durant la révolte de 1896. Des livraisons d'armes emprunté sur les stocks réformés de l'armée Grecque sont livré en Crête pas navires civils.

- Macédoine :

De même, des officiers Grecs sont envoyés en Macédoine former les importantes milices locales, très efficaces, afin de harasser les gendarmes Turcs et d'éventuelles troupes. Des armes prélevés sur les stocks réformés sont aussi livrées aux insurgés.
Les gardes frontières et les soldats cantonné à la frontière ont pour ordre de laisser les rebelles se replier derrière la frontière afin de mettre en place des bases arrières imprenables.


Dans la mesure du possible, éviter au maximum de s'attaquer aux civils. Les musulmans attaquent les chrétiens, et cela apitoie la communauté internationale en notre faveur, il faut garder cet avantage. S'attaquer principalement aux symboles de l'autorité (police, administration, voie de communication, train, télégraphe, etc...)) afin d'exposer la faiblesse de l'empire, et saper le moral des musulmans, rendre inefficace l’administration locale, les impôts, la mobilité de l'armée Turque.

Quels sont les fonds et les ressources industrielles allouées à ces deux missions ? (en clair, les livraisons d'armes représentent combien ?)

L'argent servira a acheter de la PI aux puissances occidentales pour obtenir des armes de qualité (attention aux influences occidentales).
La PI servira a fournir directement les rebelles en armes.

Nous livrons :


-8 000 des anciennes armes des régiments d'infanterie légère aux Crétois. Si besoin supplémentaire, nous faire savoir, nous fabriquerons ces armes grâce à nos licences.

-10 000 des anciennes armes des régiments d'infanterie légère aux Macédoniens. Si besoin supplémentaire, nous faire savoir, nous fabriquerons ces armes grâce à nos licences.

Forces en présence sous commandement Grec :


-Armée et Marine Grecque :

- Le Pirée
> 10 régiments d'infanterie légère
> 20 régiments d'infanterie
> 3 régiments d'artillerie
> 2 cuirassés
> 5 unités de barges de transport
> 10 unités de destroyers
> 10 unités de croiseurs légers

- Agia
> 10 unités de destroyers
> 10 unités de croiseurs légers

-Trikala
> 20 régiments d'infanterie légère
> 57 régiments d'infanterie
> 7 régiments d'artillerie


- Corps Expéditionnaire Français

-Durrës
> 20 régiments d'infanterie
> 3 Cuirasses
> 10 Croiseurs lourds
> 4 Destroyers


Méditerranée :

Maritime :
La flotte Française rejoint la mer Egée. Elle se voit offrir le mouillage dans les grands ports du Pirée et de Kalamata. L'ensemble des deux flottes opèrent sous commandement conjoint afin d'optimiser au maximum leur efficacité. L'état major dirigeant rassemble l'Amiral Kanarìs, commandant en chef de la flotte Grecque, et l'Amiral en charge de la flotte Française, ainsi que leur cabinet, afin de combiner expérience militaire et connaissance de l'environnement.

Leur mission principale et fondamentale est :
Interdire à la flotte Truque la navigation dans l'ensemble de la mer Egée. Il est primordial que les troupes en Roumélie reçoivent le moins de ravitaillement et de renforts possible. Cela passe par cette tâche. Restreindre le ravitaillement au Bosphore va permettre à la Bulgarie qui va se projeter vers la mer de couper la seule route. Pour cela, sécuriser le port de Salonique est essentiel afin d'apporter ravitaillement et matériel. Libérer le port de Knossos doit être la première mission de la flotte Française et de la flotte Grecque lors de son arrivée.

Lors des deux jours J (voir la suite), la flotte aura pour mission principale d'escorter et d'apporter un appuis-feu stratégique lors des débarquements.

Terrestre :
Grâce aux navires de transports et à l'escorte de la flotte (jour J 1), les 30 régiments cantonné au Pirée (20I + 10IL + 3A) débarquent en Crête et assurent la mise sous contrôle de l'île, et son rattachement au Royaume de Grèce, comme cela a été voté plusieurs fois par le parlement Crétois. Le blocus sur Knossos aura été auparavant levé par nos flotte. La supériorité, dans une certaine mesure, des navires Grecs, et surtout des Français, devrait rendre cette tâche relativement aisée.

Une fois que ceci est fait, l'ensemble des troupes rembarquent accompagné de volontaires Crétois (l'armée locale et la flotte devrait prévenir toute forme d'invasion) et vont libérer Rhodes afin de prendre le contrôle de l'entrée de la mer Egée. Intense appuis-feu de la marine qui couvre le débarquement. Les troupes débarquent loin de la capitale afin d'éviter le feu des éventuelles fortifications Turques, et s'efforcent de prendre l'île. Si les troupes Turques sortent, appliquer une tactique de guérilla, ne pas les combattre en face sauf hors de leurs portée. Nous avons un armement bien plus moderne, autant en profiter un maximum. S'ils restent dans leur forteresse, ne pas chercher à les en déloger. Mettre un siège, ils se rendront d'eux-même.


Macédoine :

En Macédoine Occidentale, il convient de mettre en place la stratégie suivante. La région est acquise à notre cause, et les Turcs vont avoir du mal à se renseigner et à se déplacer en évitant les embuscade. Nous sommes bien plus mobile. Il serait utile de coincer l’extrémité des forces Ottomans dans un étau entre les forces Serbes descendant vers Salonique, et les forces Grecques montant vers Salonique, alors que les Français arrivent plein Ouest. L'encerclement et les partisan les contraindront à se rendre ou à s'enfermer dans leurs forteresses, et la rendre hors de combat. 50 régiments d'infanterie, 15 régiments d'infanterie légère et 7 régiments d'artillerie sont affecté à cette tâche.
Il pourrait être utile que l'armée Bulgare occupent le plus rapidement la bande la reliant à la mer Egée qui lui a été attribué lors du partage, afin de couper tout ravitaillement depuis la Thrace et Constantinople.
Le but et de sécuriser Salonique et rendant hors d'état de nuire toute force à l'Ouest de la ville, et ensuite de se projeter à l'Est afin de rendre hors d'état de nuire toute force se trouvant entre Salonique et la bande Bulgare. Ensuite, les troupes se joignent aux Bulgares et on s'attaque à la Thrace (mais je pense que ce ne sera pas pour cette année)

Epire :
Les 7 régiments d'infanterie et les 5 de légères qui restent fonce en Epire, l'occupe et la pacifie, afin de s'assurer que l'ensemble de l'Epire rejoigne le Royaume de Grèce et que les Albanais ne spolie pas des territoire légitimement Grecs (jusqu'à la baie de Vlorë), ils restent occuper le coin, et si le partage semble être entériné, alors l'infanterie classique se joint à la Française.

Forces en présence sous commandement Grec :

Armée Grecque :

- Le Pirée
> 15 régiments d'infanterie légère
> 30 régiments d'infanterie
> 5 unités d'artillerie
> 2 cuirassés
> 5 unités de barges de transport
> 10 unités de destroyers
> 20 unités de croiseurs légers

- Agia
> 10 unités de destroyers
> 10 unités de croiseurs légers

-Trikala
> 72 régiments d'infanterie légère
> 202 régiments d'infanterie
> 10 régiments de cavalerie
> 45 unités d'artillerie

- Corps Expéditionnaire Français

-Albanie
> 13 régiments d'infanterie
> 3 Cuirasses
> 10 Croiseurs lourds
> 4 Destroyers



Macédoine :

Les nouvelles troupes Grecques fraiches montent en vitesse, par le train, vers le nord afin de venir soutenir les unités plus anciennes qui combattent. (L'ensemble des troupes basée à Trikala, voir ci-dessus).
Leur objectif est de mettre fin à la progression des troupes Ottomanes en territoire Grec, de les stopper net.
Pour cela, les batteries d'artillerie sont mises en place sur les lignes de crêtes afin de pilonner toute progression Turque. Il convient d'utiliser l'avantage que nous donne notre armement largement dominant. Les troupes d'infanterie doivent essayer au maximum d'éviter l'engagement à court distance. La portée et la précision des lebel est excellent, autant en profiter. Se positionner autant que possible en hauteur, et reculer quand l’ennemi, devient trop nombreux, le tout afin d'étirer ses lignes de ravitaillement.
Pendant ce temps, la cavalerie est en charge de la reconnaissance de l'ensemble de la région, afin de connaitre rapidement l'ensemble des postions Turques. L'infanterie légère (Evzones), spécialité de l'armée Grecque, rentre alors en action. Avec ses fusils Suisses longue portée à 12 coups, elle harcèle les flans Turcs, et particulièrement les lignes de ravitaillement afin de rendre la situation intenable pour les Turcs aussi loin dans les terres. De notre coté, grâce au chemin de fer, faire parvenir au front le maximum de nourriture, afin de garder un moral le plus élevé possible. Faire parvenir le courrier aussi bien que possible.

Pendant ce temps, l'ensemble des troupes du Pirée embarquent en en longeant la côte afin de rester sous la protection des batteries côtières et de la flotte alliée, se dirige vers Salonique. La, comme c'est le spécialité, ces troupes effectue en débarquement et essaye de rejoindre l'armée Bulgare le plus vite possible afin de couper définitivement la tête de pont Ottomane et de la forcer à la rédition (Von Paulus, si tu m'entends ). Fortifier cet encerclement au maximum et prêter main forte à la réduction de la poche ainsi créée, notamment avec l'aide des Serbes, Albanais, Français et Monténégrins dans ce domaine. Se diriger alors ensuite, si ce plan est victorieux, vers la Thrace afin de commencer à bouter le Turc hors d'Europe.
Dans tout les cas, la destruction de la tête de pont et son encerclement est primordiale.

Pour parachever cette tâche, la flotte cette année ne prépare pas de débarquement en mer Egée. L'ensemble des petites iles Grecques est encouragée à se soulever contre les éventuelles garnisons Turques, mais elles ne comportent pas vraiment d'intérêt.
La flotte alliée doit interdire à la navigation marchande la mer Egée. En misant sur les croiseurs légers, la flotte Grecque peut se permettre la guerre de course contre la flotte marchande. Elle doit couler ou endommager le maximum de navires afin de suspendre tout éventuel renfort et ravitaillement. Grâce à sa vitesse, elle peut éviter les cuirassés Ottomans quand le cas se présente. Ils capitalisent, avec les destroyers, sur cette vitesse pour lancer des attaques à la torpille fulgurantes contre les lourds bâtiments Turcs qu'ils prennent en embuscade et en surnombre.
Ils en profitent aussi pour armer les iles afin qu'elles se soulèvent, et notamment de débarquer en secret quelques unités d'artillerie en Crête pour bombarder la flotte Turque dans le port de Knossos.

Armée Grecque

- Salonique
> 21 régiments d'infanterie légère
> 32 régiments d'infanterie
> 6 unités d'artillerie

Le Pirée
> 2 cuirassés
> 5 unités de barges de transport
> 7 destroyers
> 21 croiseurs légers

- Agia
> 8 destroyers
> 15 croiseurs légers

-Attique
> 65 régiments d'infanterie légère
> 195 régiments d'infanterie
> 8 régiments de cavalerie
> 35 unités d'artillerie

- Corps Expéditionnaire Français

-Albanie
> 11 régiments d'infanterie
> 3 Cuirasses
> 10 Croiseurs lourds
> 4 Destroyers


Méditerranée :

On continu la guerre de course. On essaye de viser encore plus navires de transports en évitant les cuirassés, en se servant des îles notamment. Attaque à la torpille ou au canon selon la situation.
L'ensemble de la flotte la plus lourde patrouille d'Athènes à Salonique afin d'interdire au mieux la présence Ottomane dans le coin.


Attique et Macédoine :

Athènes ne doit pas tomber ! Nous sommes à un endroit très étroit, où le nombre ne peut pas servir, notamment à déborder. L'ensemble des forces doivent s'enterrer dans des tranchées et un système de défense sophistiqué, avec les canons en batterie derrière qui pilonne tout ce qui essaye de s'approcher des fortifications. Il convient d'utiliser la suprématie de l'armement pour tenir en respect les vagues successives de Turcs. Il faut tenir. On impose un roulement des unités en premières lignes afin de conserver le moral et l'efficacité. Le ravitaillement se doit d'être exemplaire. Des groupes de milice VOLONTAIRE peuvent être levé à Athènes et dans la région. Il faut tenir en respect l'armée Ottomane.

Pendant ce temps, au nord, une partie des troupes (Grecques, Françaises, Serbes, Monténégrine, etc...) fini de réduire les poches, et dès que cela est fait, elle part immédiatement au secours de l'armée Bulgare afin de rééquilibrer ce front.
Pendant ce temps, l'autre partie fonce plein sud prendre en tenaille l'armée Turque approchant d'Athènes. Il convient de l'encercler parfaitement, la flotte empêchant un rembarquement, et de la forcer à la rédition ou à la mort. L'armée du Nord qui descend se retranche elle aussi et avance progressivement afin de réduire au minimum l'espace.

Une fois cela (fini, j'espère que ça va marcher, sinon, ça commence à craindre du boudin), l'ensemble des troupes remontent et viennent prêter main forte à l'armée Bulgare.

Ordre pour 1906 :


- Salonique
> 64 régiments d'infanterie légère
> 224 régiments d'infanterie
>10 régiments d'infanterie de montagne
> 46 unités d'artillerie
> 6 régiments de cavalerie

Le Pirée
> 2 cuirassés
> 5 unités de barges de transport
> 7 destroyers
> 21 croiseurs légers

- Agia
> 8 destroyers
> 15 croiseurs légers


Maritime :
-Essayer d'esquiver le blocus afin de reprendre la guerre de course vers la Thrace, en s’abritant en Chalcidique. -Essayer de prévenir tout débarquement, les troupes de Tripolitiaine ne doivent pas arriver. Demander l'aide de la flotte Française.

Thrace:

Les troupes coalisées en enfin fait jonction, et forme un seul front. Il s'agit de progresser maintenant vers Constantinople. Toutes les troupes Grecques se rassemblent, et les unités les plus éprouvées passent en arrière garde.
Pour cela, les batteries d'artillerie sont mises en place sur les lignes de crêtes afin de faire une préparation d'artillerie avant chaque progression. Il convient d'utiliser l'avantage que nous donne notre armement largement dominant. Les troupes d'infanterie doivent essayer au maximum d'éviter l'engagement à court distance. La portée et la précision des lebel est excellent, autant en profiter. Se positionner autant que possible en hauteur, et forcer l'ennemi à venir à notre rencontre, sous notre artillerie et mitrailleuses, ou à reculer, et ainsi progresser.
Pendant ce temps, la cavalerie est en charge de la reconnaissance de l'ensemble de la région, afin de connaitre rapidement l'ensemble des postions Turques. L'infanterie légère (Evzones), spécialité de l'armée Grecque, rentre alors en action. Avec ses fusils Suisses longue portée à 12 coups, elle harcèle les flans Turcs, et particulièrement les lignes de ravitaillement afin de rendre la situation intenable pour les Turcs aussi loin dans les terres. Elle est plus versatile, et se déplace pour apporter le soutien rapidement en chaque point sensible du front, là où les Ottomans poussent fort, ou inversement, là où ils vont céder. Le but et de faire reculer le front Thrace et de se rapprocher de Constantinople.
Les troupes doivent rester vigilante et se préparer à mettre en batterie les canons afin de contrer un débarquement, de concert avec la flotte (qui doit tout tenter si tel est le cas)