Diplomatie de l'Empire Ottoman

C'est ici que sera traité la diplomatie de l'Empire Ottoman

Le gouvernement Ottoman annonce que son intervention en Bulgarie a été rendu nécessaire par les insurrections et les provocations répétées le long de sa frontière ces derniers mois, le gouvernement Ottoman avait jusqu’ici laissé filer, mais dernièrement l’attaque dont fut victime l’un de ses villages frontaliers était la goutte d’eau qui fit déborder le vase, c’est pour cela que la Sublime Porte annonce qu’elle intervient en Bulgarie afin de mettre fin aux exactions et à l’attitude belliqueuse du gouvernement Bulgare.

L'acte guerrier et intolérablement perpétré par l'empire Ottoman à l'encontre du Royaume de Bulgarie est inacceptable. Le Gouvernement de l'empire Allemand ne peut que le condamner avec fermeté et sévérité.

Cet acte infâme est tout simplement gratuit. Aucune tension ou événement ne justifiait cette entreprise de conquête de la Bulgarie, une entreprise qui ne déstabilise pas uniquement ce Royaume, mais également la région dans son ensemble.

La communauté internationale se doit de réagir et de condamner ce comportement, sous peine d'encourager les actes de guerre et de conquêtes peut justifiable et sans réel casus belli. Nous demandons les belligérant à accepter un cessez-de-feu et de venir à la table de négociation.

La République Française appel au calme et à la modération. N'agissons pas sous le coup de la colère ou de la stupéfaction, ce serait une grave erreur qui pourrait mettre en péril la paix éphémère en Europe, particulièrement dans les Balkans. Le Président de la République Française invite aussi le gouvernement de l'Empire Ottoman à accepter un cessez-le-feu. La France préconise un second Traité de Berlin afin de tirer le vrai du faux dans cette affaire, après avoir recueilli les témoignages et observations de tous les acteurs de la région.

Le Royaume de Roumanie demande la fin des combats, le retour aux frontières ante-bellum et la tenue d’une conférence internationale visant à terminer ces exactions.

Un tel comportement de la part de l’Empire Ottoman met en péril mortel la paix dans les Balkans et la liberté de navigation et de commerce en mer Egee.

La Sublime Porte accepte le cesser-le feu, ainsi que s'asseoir à la table des négociations.

Le souverain bulgare accepte l'offre de son homologue ottoman. Nous espérons que d'autres grandes puissances viennent s'asseoir afin qu'une médiation claire, calme et sereine se fasse. Nous pensons qu'un bon accord peut aboutir de ces tractations.

Cordialement,

*Avec du retard*

Le Tsar de Russie suit ses homologues en demandant le cessez le feu et que les belligérants s’assoie à la table des négociations.

Le Royaume Espagnol est heureux que les 2 participants au conflit acceptent de faire parler la diplomatie plutôt que les armes

Le royaume de Grèce est très heureux de cette sortie de conflit. Il suit ses homologues dans l'espoir d'une redéfinition claire des frontières, mais aussi de l'équilibre politique dans la zone Balkanique. De plus, le roi des Grecs espère pouvoir participer aux négociations.

L'Empire austro-hongrois constate avec joie que la barbarie fait place à un début de raison. Nous participerons évidemment à l'élaboration d'un second Traité de Berlin qui assurera la paix et la stabilité dans les Balkans.

Art. 1
L’Empire Ottoman et le Royaume Bulgare annoncent mettre fin au conflit les opposants et la création de la province autonome Ottomane de Roumélie orientale (voir carte), l'Empire Ottoman en obtient la souveraineté. Le Royaume de Bulgarie reste l’investisseur potentiel principal en Roumélie orientale.

Art.2
Le Royaume de Bulgarie s’engage à payer des réparations de guerres à hauteur de 450 $ à l’Empire Ottoman.

Art.3
Le Royaume de Bulgarie stationne sa flotte à Varna. Le Royaume de Bulgarie ouvre le port de Varna à la marine impériale russe pendant 1 ans. Cependant, l’Empire de Russie informera le Royaume de Bulgarie de ses agissements à Varna.

Art.4
Le souverain de Bulgarie renonce à utiliser le titre de Tsar dans les relations internationales et se nommera désormais Roi de Bulgarie et des Bulgares. De plus, en cas de tension avec les Slaves de son empire, l’Empire Ottoman s’engage à contacter le Roi de Bulgarie afin qu’il serve de médiateur

Art.5
L’Empire Ottoman et le Royaume Bulgare s’engagent à ne pas contribuer à l’affaiblissement de l’autorité du pays quo-signataire sur son territoire et à ne pas envoyer de troupes sur le sol du pays quo-signataire ou dans ses territoires extranationaux sans l’accord préalable de ce dernier.

Art.6
Le Royaume Bulgare s’engage à renoncer à toute opération clandestine destinée à nuire ou à déstabiliser le régime ottoman.

Art.7
En cas de conflit entre les deux pays quo-signataires, l’Empire Ottoman et le Royaume Bulgare s’engagent à privilégier la voie diplomatique à la voie martiale. Si une solution diplomatique à leur conflit n’est pas trouvée, les deux pays quo-signataires s’engagent à faire appel aux garantes du présent traité, en tant que médiateur lors d’une rencontre diplomatique destinée à résoudre pacifiquement le conflit les opposant.

Le présent traité entre en application dès sa signature par les deux parties.
Dès le début d’application du présent traité, les troupes des pays quo-signataires se trouvant sur le sol de l’autre pays quo-signataire disposent d’un délai de 72 heures pour rejoindre leur territoire.
L’Empire Allemand, l’Empire Austro-hongrois, la République Française, le Royaume-Uni de Grande-Bretagne & d'Irlande et l’Empire Russe, médiateurs de la conférence de paix ayant abouti à ce traité, s’engagent à le garantir.


Carte présentant les provinces passant sous contrôle Ottoman (Roumélie Orientale)

Les Représentants de l'Empire Russe signe au nom du Tsar Nicolas II.

L'empereur signer donc le document

Le Royaume de Roumanie se réjouit de la résolution rapide de ce conflit, et souhaite de tout cœur que l’avenir des Balkans se fasse sous le sceau de la paix et de la prospérité économique.

Sa majesté le roi de Bulgarie et des Bulgares signe le traité. Que la paix soit !

La Sublime Porte signe également ce traité.

La République Française signe le traité.

L'Empire Austro-Hongroie signe le traité