A l'attention du Royaume de Grèce, notre nation sœur :
Nous prenons contact avec vous avec l’espoir d’approfondir considérablement nos relations bilatérales, entre deux peuples qui n’en forment qu’un.
Nous souhaitons nous engager avec vous sur le chemin d’une alliance profonde, complète, équitable et sans équivoque, et si possible par la suite approfondir cette relations vers une intégration plus aboutie, si tel est votre souhait, qui est le nôtre.
En effets nos peuples partagent une histoire, des objectifs mais également des menaces et il parait dès lors naturel de rassembler nos forces pour les atteindrez.
- Historiquement nous sommes frères, héritier du glorieux empire Romain vous comme nous, nous sommes les derniers vestiges de cette civilisation glorieuse noyés dans un océan Slave et Turc. De tous temps nous avons collaborés. Nous avons ainsi été de fidèles auxiliaires de l’empire jusqu’à notre chute face aux Bulgares. Lors de la chute de Constantinople, paix à Constantin XI, nombre de Grecs sont venus se réfugier dans les Principautés de Valachie et de Moldavie, dernières terres civilisées et orthodoxes libres des Mahométans, ont participé au développement de nos provinces et font maintenant parti des élites les respectées qui soient. Plus récemment, la glorieuse révolution Grecque a trouvé son origine et ses plus fidèles soutiens dans nos provinces, preuve de la proximité et de vision commune des choses de nos peuples. Et cette révolution a pavée la voix à notre indépendance.
- Nous avons des menaces similaires : les turcs sont toujours une immense nuisance potentielle, et surtout ils détiennent la mère de toutes les cités : Constantinople. Nous pleurons chaque jour de voir Sainte-Sophie vouée à l’islam. Ils sont nos ennemis mortels commun. Pareillement, les Slaves qui sont des alliés de circonstance nécessaire face aux Turcs peuvent devenir à moyen terme de vraie menace pour notre survie culturelle, tant leur ambition est débordante et le nombre grand.
- Nous avons des objectifs communs. Libérer nos peuples du joug des occupants, en Thrace, en Transylvanie, en Macédoine afin de rassembler au sein de nos frontières notre peuple disséminée par les guerres, avant de converger vers notre but ultime : Constantinople.
C’est pourquoi nous souhaitons signer avec vous une alliance totale qui s’accompagne de l’ensemble des dispositions nécessaires à faciliter le commerce et la prospérité entre nous. Étant donné l’importance de cette alliance, nous pensons qu’il serait préférable de prendre les décisions de politique étrangère majeure après consultations mutuelle de nos souverains respectifs pour les grands moments.
Afin de marquer notre retour sur cette terre et d’affirmer notre refus de disparaître, il convient de mettre en place la structure nécessaire à cette alliance : c’est pourquoi nous proposons de réformer l’empire Romain d’orient, dont l’objet sera de représenter l’alliance inconditionnelle de nos deux royaumes, qui en seront les nations constitutives, et d’en assurer le fonctionnement. Le titre honorifique d’Empereur sera confié à un personnage à même s’assurer cette mission. Nous proposons Jean Cantacuzene : descendant direct de l’empereur du même nom et de princes de Valachie, parlant le roumain et le grec comme langue maternelle, patriote convaincu et fervent défenseur de la foi, c’est un homme tout indiqué.
Si la Grèce est prête à aller plus avant dans la collaboration, nous sommes ouverts et très réceptif.
Il va sans dire que l’acceptation d’avancer avec nous mains dans la mains entraînerai la reconnaissance de l’enosis de la Crète et le partage de nos ressources pétrolières.
Quelle est la réponse du Royaume de Grèce à cette proposition ?