Royaume d'Egypte

Provinces administratives sous le contrôle de la Dynastie des Ptolémée :

1 : Nord Sinaï
2 : Sud Sinaï
3 : Mer Rouge
4 : Isthme de Suez
5 : Péluse
6 : Héliopolis
7 : Alexandrie
8 : Ouadi Natrum
9 : Lybie Orientale
10 : Lybie Méridionale
11 : Lybie Maritime
12 : Cyrènaïque
13 : Cyrènaïque Intérieure
14 : Lybie Occidentale
15 : Chypre Méridionale
16 : Chypre Septentrionale
17 : Lycie
18 : Carie
19 : Canaan
20 : Pétra
21 : Jordanie
22 : Chaldée Occidentale
23 : Euphrate Supérieur

Voies Commerciales Externes (10 Deniers) :

Alexandrie - Carthage (5 Deniers)
Alexandre - Rome (5 Deniers) (Voir ICI)

Voies Commerciales Internes (130 Deniers) :

Alexandrie - Lybie Maritime (10 Deniers)
Lybie Maritime - Cyrènaïque Intérieure (10 Deniers)
Alexandrie - Carie (10 Deniers)
Alexandrie - Chypre Méridionale (10 Deniers)
Alexandrie - Péluse (10 Deniers)
Péluse - Isthme de Suez (10 Deniers)
Isthme de Suez - Nord Sinaï (10 Deniers)
Nord Sinaï - Canaan (10 Deniers)
Canaan - Jordanie (10 Deniers)
Péluse - Iopolis (10 deniers)
Alexandrie - Ouadi Natrum (10 deniers)
Cyrénaïque - Cyrénaïque Intérieure (10 deniers)
Chaldée occidentale - Jordanie (10 deniers)

Vassaux :

- Rhodes
- Royaume Lagide de Syrie

Alliances défensives :

- République de Carthage
- Rome (jusque -200 - Voir ICI)

Traité divers :

- Traité scientifique avec Rome, vabale jusque -210 Voir ICI)

En cette année, le peuple apprend avec tristesse le décès de Pharaon Ptolémée II, mort de vieillesse. Son fils, Ptolémée III devient donc nouveau Pharaon.

A cet effet est demandé une analyse du Royaume d’Égypte aux conseillers royaux.

Quelle est la situation économique, diplomatique du royaume, ainsi que les craintes, satisfactions et souhaits des peuples d’Égypte ?

L’Égypte, bien que riche et diplomatiquement puissante, reste pauvre en comparaison des autres puissances de la région, et s'est beaucoup reposée sur ses acquis. La nécessité d'ouvrir des relations commerciale plus larges avec ses voisins, de mettre en place une infrastructure digne de ce nom et un véritable système légal et administratif s'impose à ses dirigeants.

Pharaon demande à ses conseillers l'établissement d'un rapport concernant le premier édit ci-dessous avant de le déclarer.

Quels en serait les coûts mais aussi les avantages à y attendre (concernant les inconvénients, nous les demandons en privé) ?


Le Royaume d’Égypte est une monarchie théocratique. Bien plus qu'un roi, le pharaon est à la fois l'administrateur principal, le chef des armées, le premier magistrat et le prêtre suprême de l'Égypte.

Le territoire égyptien est découpés en 23 régions administratives, qui sont chacune régie par un gouverneur choisi par Pharaon, responsable devant lui de ses compétences.

Les temples constituent l'épine dorsale de l'économie égyptienne. Ainsi, les temples sont non seulement des lieux de culte mais ils sont également responsables de la collecte et du stockage des richesses de la nation dans un système administré de greniers et de trésoreries qui redistribuent les céréales et les biens.

Chaque province devra donc mettre en place un temple et une caserne-militaire accolée où seront formés les futurs officiers de l'armée.

L'administration d'une province est gérée conjointement par les gouverneurs et les grands prêtres du temple. L'économie est centralisée et strictement contrôlée par le Gouverneur et les Grands Prêtres dans les temples. Les Grands prêtres sont garants de la parole de Pharaon et sont responsables de l'acheminent des ressources nécessaires vers la capitale, Alexandrie.

Dans les faits, les gouverneurs gèrent prioritairement la justice, la sécurité et l'armée. Les grands prêtres, l'administration, l'impôt, le culte et les stocks provinciaux.

Les Égyptiens considèrent les hommes et les femmes comme égaux devant la loi, quelle que soit la classe sociale. Le plus humble des paysans a ainsi le droit de présenter une requête auprès du gouverneur et de sa cour pour obtenir réparation.

Les hommes et les femmes ont le droit de posséder et de vendre des biens, de conclure des contrats, de se marier et de divorcer, de recevoir un héritage et d'entamer des poursuites devant les tribunaux en cas de litige.

En dépit de ces libertés, les Égyptiennes ne peuvent toutefois pas exercer de postes officiels dans l'administration et restent cantonnées à des rôles secondaires, mais utiles, dans les temples. Elles ont toutefois le droit de gérer leurs patrimoines au même titre qu'un homme.

Conformément aux informations parues ICI, Je modifie ma fiche d'affaire d'état au niveau des Routes Commerciales Internes.

Je note aussi que des gouverneurs ont donc été mis en place.

Un décret d'une telle importance coutera 600 Deniers et 1200 Effectifs, mais améliorera toute vos statistiques nationales.

Pharaon est disposé à répartir cette somme en 6 décennies, à raison de 100 deniers et 200 effectifs par décennie jusqu'à terme.

Si fait, nous déclarons l'édit valide et officiel.

Hum le décret ne serra alors valide que dans 60 ans ...

Pharaon n'était pas certain d'avoir les finances suffisantes suite à la Grande Guerre d'Hellade, mais est satisfait de constater la bonne santé de la trésorerie égyptienne.

Il consent donc à lancer le décret pour 600 deniers et 1200 effectifs.

Décrété officiellement :

Le Royaume d’Égypte est une monarchie théocratique. Bien plus qu'un roi, le pharaon est à la fois l'administrateur principal, le chef des armées, le premier magistrat et le prêtre suprême de l'Égypte.

Le territoire égyptien est découpés en 23 régions administratives, qui sont chacune régie par un gouverneur choisi par Pharaon, responsable devant lui de ses compétences.

Les temples constituent l'épine dorsale de l'économie égyptienne. Ainsi, les temples sont non seulement des lieux de culte mais ils sont également responsables de la collecte et du stockage des richesses de la nation dans un système administré de greniers et de trésoreries qui redistribuent les céréales et les biens.

Chaque province devra donc mettre en place un temple et une caserne-militaire accolée où seront formés les futurs officiers de l'armée.

L'administration d'une province est gérée conjointement par les gouverneurs et les grands prêtres du temple. L'économie est centralisée et strictement contrôlée par le Gouverneur et les Grands Prêtres dans les temples. Les Grands prêtres sont garants de la parole de Pharaon et sont responsables de l'acheminent des ressources nécessaires vers la capitale, Alexandrie.

Dans les faits, les gouverneurs gèrent prioritairement la justice, la sécurité et l'armée. Les grands prêtres, l'administration, l'impôt, le culte et les stocks provinciaux.

Les Égyptiens considèrent les hommes et les femmes comme égaux devant la loi, quelle que soit la classe sociale. Le plus humble des paysans a ainsi le droit de présenter une requête auprès du gouverneur et de sa cour pour obtenir réparation.

Les hommes et les femmes ont le droit de posséder et de vendre des biens, de conclure des contrats, de se marier et de divorcer, de recevoir un héritage et d'entamer des poursuites devant les tribunaux en cas de litige.

En dépit de ces libertés, les Égyptiennes ne peuvent toutefois pas exercer de postes officiels dans l'administration et restent cantonnées à des rôles secondaires, mais utiles, dans les temples. Elles ont toutefois le droit de gérer leurs patrimoines au même titre qu'un homme.

Après d'intenses réflexions et de comparaisons, Pharaon désire privilégier l'Armée afin d'accroître les effectifs et les sciences.

Un sacrifice est dédié aux Dieux grecs et égyptiens, pour un montant de 2 deniers afin d'encourager le décret et la stabilité du royaume.

Grande fête est organisée dans le palais d'Alexandrie, avec la présence de tous les gouverneurs pour 5 deniers.

En cet année -217, le Pharaon Ptolémée III annonce son mariage avec Bérénice II, fille du gouverneur de la province de Cyrénaïque.

Sacrifice est fait aux Dieux grecs et égyptiens, pour un montant de 5 deniers, en cet honneur.