Nous élisons les nouveaux représentants de l'Assemblée Nationale du Sultanat du Maroc, de ceux qui ont soutenu son indépendance et qui se sont retournés contre les Français et les Espagnols, de quelques représentants des tribus, de l'entourage direct du Sultan.
Cette Assemblée aurait un droit législatif, et mettrait en oeuvre une Constitution sur les bases islamiques et modernes, qui donne à chacun son droit en gardant en haut le pouvoir royal chérifien, commandant l'armée, la Justice, etc...