Décisions & Décrets

Ici se tiendront les réformes Britanniques.

Est demandé un devis pour la construction de 5 usines de textile généralistes et de 5 usines de fabrication de vêtements, qui seront implantées au Tibet. Chaque usine devra héberger entre 1 000 et 2 000 ouvriers. Seront nommés à leur tête des sympathisants des Travaillistes, si cela est possible.

Nous construirons 3 usines de textile et 2 usines de vêtements, en dépensant 25 PI. Faites ce que vous pouvez pour placer des Travaillistes, toujours dans la mesure du possible.

Le Premier Ministre souhaite demander à la White Star Line un devis pour la construction pour le compte de l'Etat de deux paquebots de classe Olympic, la nouvelle classe de paquebots développée par Thomas Andrews et Alexander Carlisle.

Nous aimerions savoir ce que cela coûterait à l'Etat, et combien de temps mettraient ces deux paquebots à être construits.

Chacun ou pour les deux ? Et combien de temps cela prendrait-il ?

Le Premier Ministre Britannique souhaite mettre fin à la censure à demi-cachée actuellement en place dans le Royaume-Uni. Pour cela est décrété la chose suivante :

Loi sur la Liberté de la Presse a écrit:

Titre Unique
De l'Arrêt du Contrôle de la Presse

Article premier : Désormais, l'Etat n'aura plus de contrôle en amont sur ce qui est écrit dans les journaux.

Article 2 : Une autorité judiciaire nommée "Institut de la Presse" est aujourd'hui mis en place pour contrôler ce qui est écrit dans les journaux et censurer si une loi est outrepassée.

Article 3 : L'Institut de la Presse n'aura pas le droit de censurer en amont. Tout pourra être écrit, et c'est après la publication que l'Institut de la Presse pourra être saisis pour juger du cas d'un article.

Article 4 : Les opinions politiques ne sont pas condamnables, excepté lorsqu'elles enfreignent les lois établies du Royaume-Uni de Grande-Bretagne & d'Irlande. Ainsi, il est autorisé de transmettre ses idées politiques dans un journal tant que ces mêmes idées ne promulguent pas des choses illégales.

Pour défendre son idée devant le Parlement, le Premier Ministre expliquera qu'il désire instaurer une plus grande liberté individuelle au sein du pays : que chacun puisse écrire ce qu'il veut, dans le respect de la Loi, afin d'améliorer la qualité du débat public.

Le Premier Ministre Britannique souhaite lancer au Parlement un vote concernant la question du Syndicalisme. Il souhaite faire des concessions au Parti Travailliste, qui a fait une percée historique au Parlement, sans pour autant négliger les demandes du Parti Libéral, qui est fondamentalement opposé au Syndicalisme. Ainsi le PM a pris la décision d'autoriser de manière contrôlée les syndicats au sein des entreprises Britanniques.

Loi sur la Syndicalisation Contrôlée a écrit:

Titre Premier
De l'Autorisation Contrôlée du Syndicalisme au sein des Entreprises

Article Premier : Désormais, et jusqu'à ce qu'une nouvelle loi mette fin à celle-ci, les syndicats sont autorisés, de manière contrôlée (comme indiqué dans le reste de la présente loi) dans les entreprises Britanniques.

Article 2 : Chaque entreprise pourra se voir dotée d'un unique syndicat, formé par les employés de l'entreprise. Ce syndicat pourra se former sans l'autorisation du patron de l'entreprise.

Article 3 : Un organe judiciaire sera mis en place, l'Institut de Contrôle Syndical, afin de contrôler les syndicats au sein des entreprises Britanniques.

Article 4 : Les patrons pourront demander à l'Institut de Contrôle Syndical un contrôle du syndicat de leur entreprise, et l'ICS pourra prononcer la dissolution du syndicat si son enquête montre des problèmes. Il sera alors impossible de reformer un syndicat avant l'année d'après la dissolution du précédent.

Article 4.1 : Sont considérés comme des problèmes :
a) Empêcher l'entreprise de fonctionner (soit l'empêcher de produire au moins 50% de ce qu'elle produisait l'année précédente) ;
b) Mettre en danger la vie de l'équipe dirigeant l'entreprise ;
c) Mettre en danger la survie de l'entreprise.

Article 5 : Le syndicat d'une entreprise a le droit de demander une audition au conseil administratif et/ou au patron de l'entreprise, pour soumettre ses idées et demandes. Le conseil administratif et/ou le patron ont obligation d'écouter les idées et demandes du syndicat.

Article 6 : Un syndicat au sein d'une entreprise a le droit de proclamer une grève qui durera un maximum de 30 jours. Le conseil administratif et/ou le patron pourront décider de ne pas payer leurs employés grévistes le temps de la grève.

Titre Second
De l'Autorisation Contrôlée du Syndicalisme dans le Royaume-Uni de Grande-Bretagne & d'Irlande

Article 7 : Deux syndicats nationaux seront autorisés au sein du Royaume-Uni de Grande-Bretagne & d'Irlande : le Syndicat des Ouvriers & Agriculteurs Britanniques et le Syndicat des Patrons Britanniques.

Article 8 : Pourront se syndiquer au Syndicat des Ouvriers & Agriculteurs Britanniques tous ceux qui justifieront d'un travail dans un domaine agricole, de la simple ferme au plus grand domaine, ou dans une usine.

Article 9 : Pourront se syndiquer au Syndicat des Patrons Britanniques tous ceux qui justifieront de la propriété d'une entreprise dépendant du Royaume-Uni de Grande-Bretagne légalement ou fiscalement.

Article 10 : Le Syndicat des Ouvriers & Agriculteurs Britanniques aura pour mission de regrouper les syndicats d'entreprises. Le SOAB ne pourra pas lancer de grèves de sa propre initiative et devra suivre les grèves lancées par les syndicats d'entreprises.

Article 11 : Le Syndicat des Patrons Britanniques pourra demander à l'ICS la fin d'une grève lancée par un syndicat d'entreprise. L'ICS pourra prononcer la fin obligatoire d'une grève si elle met en danger le patron de l'entreprise, ou la santé économique de l'entreprise, selon les termes évoqués à l'article 4.1.

Article 12 : Le Syndicat des Ouvriers & Agriculteurs Britanniques pourra faire des demandes directement auprès du Syndicat des Patrons Britanniques pour entreprendre des modifications des conditions de travail dans les entreprises dont les patrons sont membres du-dit Syndicat.

Article 13 : Le Syndicat des Ouvriers & Agriculteurs Britanniques pourra organiser des meetings afin de promouvoir son entité et l'adhésion. Il en sera de même pour le Syndicat des Patrons Britanniques.

L'idée est proposée pour le moment, afin de s'enquérir de la réaction du Parlement, elle n'est pas mise au vote.

[H.J : Le but c'est de créer une idée syndicale, en leur montrant qu'on peut négocier avec les patrons en groupe, qu'on peut faire des grèves etc... tout en leur donnant aucun pouvoir pour leur mettre l'eau à la bouche. Là les patrons ont encore tous les pouvoirs, et pour les libéraux ça fait genre "On fait des concessions sans rien donner".]

Les Conservateurs, ainsi qu'une aile importante du Parti Libéral ont déclenché une procédure d'impeachment à l'égard du premier ministre à la suite du dépôt de cette loi. Elle a fort heureusement échoué, les travaillistes et les indépendantistes irlandais ayant choisi de soutenir le premier ministre. La loi est donc passée, avec pertes et fracas.

La coalition au pouvoir est néanmoins ébranlée par les propositions du premier ministre, et dans la presse, les critiques se déchaînent à son encontre. Parmi les milieux bourgeois, on commence à réclamer sa démission. Quand aux milieux prolétaires, leur soutien aux Libéraux est renforcé par ces propositions.

De manière générale, on s'accorde à dire dans les milieux autorisés, que le pays est globalement ingouvernable à l'heure actuelle, et la crise politique pourrait s'aggraver dans les prochains temps.

Un test d'unité nationale sera désormais nécessaire pour chaque loi, jusqu'à ce que la chambre des communes ait été dissoute et des éléctions anticipées convoquées, ou jusqu'à ce que le premier ministre ai été destitué ou ai constitué une nouvelle coalition. Le test d'unité nationale est toutefois une réussite, mais vous perdez néanmoins un point d'unité nationale.

Le Premier Ministre souhaite mettre en place une coalition au gouvernement avec le Parti Travailliste pour diriger le pays. Compte tenu des récents problèmes politiques, une coalition entre les Travaillistes et les Libéraux sera la meilleure possibilité pour gouverner.

Il existe 4 fêtes nationales au Royaume-Uni, une pour chaque Nation Constitutive : l’Angleterre (23 avril), l’Ecosse (30 novembre), le Pays de Galles (1er mars) et l’Irlande (17 mars). L’anniversaire officiel de Sa Majesté est également considéré comme une fête nationale non-officielle.
Afin de remonter l’Unité Nationale du pays, le Premier Ministre souhaite organiser de grandes festivités pour chacune des 4 fêtes nationales. Ainsi le 23 avril, le 30 novembre, le 1er mars et le 17 mars seront chacun un jour sans travail dans les Nations Constitutives associées à ces fêtes, et 500 Livres seront allouées à l’organisation de chacune de ces fêtes dans un mélange de festivités locales et Britanniques. A la fin de chacune de ces soirées le Roi sera célébré, et l’hymne national Britannique sera chanté. Le Roi sera présent à chacune de ces fêtes.
De même, l’Etat Britannique paiera le salaire des ouvriers pour la journée de travail qu’ils n’effectueront pas. Le budget pour cette paye sera de 2 000 Livres.

Budget total : 4 000 Livres.

Nous souhaitons engager une grande prospection pour trouver de l'acier sur les territoires nationaux Britanniques, ainsi que dans les colonies, en payant le prix de 200 Livres.

De plus nous souhaiterions financer les universités d'Oxford, de l'University College de Londres et de Imperial College London pour 4 000 Livres au total. Une grande fête sera organisée dans ces trois universités, auxquelles le Roi lui-même sera présent, afin de féliciter les étudiants et de montrer le prestige de nos universités. Ces trois fêtes auront lieu le 5 mars, le 15 mars et le 25 mars, respectivement dans chaque université.

-------------------------------


A l’heure actuelle, la monnaie du Royaume-Uni de Grande Bretagne & d’Irlande n’est pas basée sur l’étalon-or. Une livre vaut environ 76 Francs [H.J : chiffre d’avant 1923, je n’ai pas trouvé plus proche]. Nous avons une monnaie forte et sommes une des principales places financières du monde, quoiqu’un retour à l’étalon-or pourrait nous assurer une hausse sur les places financières mondiales. Néanmoins l’économiste John Maynard Keynes considère cela comme une mauvaise idée, car cela pénaliserait l’industrie Britannique.

Ainsi, afin de pérenniser notre industrie, et ce même au détriment de quelques apports sur les principales places financières, il est décidé qu’un retour à l’étalon-or ne sera fait que sur observation d’économistes qualifiés. Ainsi est fondé la Société Observatrice des Monnaies dont le rôle sera de surveiller la monnaie Britannique, la Livre, et de décider des marches à suivre en ce qui concerne la valeur de la Livre, notamment de son passage ou non à l’étalon-or. Pour cela, nous invitons John Maynard Keynes à siéger dans cette Société, lui accordant une rente de 20 Livres par an. S’il a des exigences plus élevées en termes de rente, nous sommes prêts à l’écouter. La SOM aura également pour but de vérifier l’indice de production des manufactures Britanniques, et de nous fournir un rapport chaque année, afin que le gouvernement sache où rediriger les investissements et le budget. Un indice de production de 100 est attendu pour l’année 1913 [H.J : Indice obtenu IRL.]

De plus, afin de maintenir notre position dominante sur les marchés mondiaux, nous proposons l’ouverture de Boutiques de Bourses dans les 4 grandes villes du pays : Londres, Edimbourg, Cardiff et Dublin. Cinq de ces boutiques ouvriront dans chacune de ces villes, et nous investissons pour cela 100 Livres par ville (soit 500 Livres au total). Leur but est de permettre à tout un chacun d’investir dans des actions boursières, même de très faibles valeurs, afin de booster l’investissement national.

------------------------------------


Afin de booster l’économie Britannique, le gouvernement décide d’un plan de financement et de négociations avec divers Etats dans les intérêts des groupes Royal Dutch / Shell, Anglo-Persian Oil Company et Burmah Oil Company (explications dans le lien Anglo-Persian Oil Company).
Ainsi seront accordés à chacune de ces entreprises 5 PI pour leur développement dans les pays où elles exercent. De plus, nous souhaitons négocier avec les Pays-Bas la cession de deux nouvelles concessions pétrolières à Bornéo et une concession à Sumatra à la Royal Dutch / Shell. Le Royaume-Uni est prêt, en échange, à céder aux Pays-Bas deux concessions de caoutchouc en Malaisie Britannique.
Concernant l’Anglo-Persian Oil Company, nous souhaiterions obtenir auprès de cheikh locaux des accords pour étendre nos centres pétroliers. Nous avons logiquement déjà des concessions dans tout le sud du pays, mais il faut négocier avec les Cheikh l’établissement de nos industries. Nous sommes prêts à investir 500 Livres dans les négociations, et ce chiffre peut être rehaussé en fonction des besoins.
Enfin, concernant la Burmah Oil Company, nous souhaitons investir 200 Livres dans la recherche de nouvelles zones pétrolières.

Nous acceptons l'offre des Pays-Bas et investissons 400 Livres dans la recherche de gisements de pétrole.

Nous investissons 15 PI pour exploiter le pétrole de Birmanie.

[H.J : Je fais les recherches pour les professeurs dès que je peux.]

Nous investissons 300 Livres pour financer l'Institut de la Presse, 300 Livres pour financer l'Institut de Contrôle Syndical et 1 000 Livres pour financer la Société Observatrice des Monnaies.

Nous investissons 20 PI dans la construction d'usines, réparties comme suit :

• 2 Usines de Conserves
  
• 1 Usine d'Armements
  
• 1 Usine de pièces détachées

De plus, nous investissons 5 PI dans la construction d'un chantier naval.

Est ordonné d'exploiter une de ces ressources pour cette année, pour 5 PI.

Nous pensons, du fait du revirement d'une partie de la presse Britannique, qu'une ingérence étrangère est en action dans notre Nation ; c'est pourquoi nous confions à nos services secrets, le MI6, de trouver des informations sur la question. De même, le Gouvernement de Sa Majesté demandera au Ministre des Finances de contrôler les comptes privés des dirigeants de l'organisation.