Décisions et Décrets

Toujours rien

[1910] Note Interne au Gouvernement :

Il ne s'agit pas réellement d'un décret publique ou d'une loi, mais plutôt la correction à un comportement gouvernemental contraire aux droits de l'homme et aux droits de la presse :

- Désormais, le gouvernement cessera toutes actions de censures, bien qu'elles soient indirectes depuis la loi sur la liberté de la presse. Il y a un risque que ça ravive les scandales de l'affaire des fiches et des inventaires avant les élections, mais c'est par les idées et le débat que nous combattrons le nationalisme, le socialisme et les conservateurs.
- Le gouvernement ne cherchera plus à étouffer ou saboter les mouvements socialistes, les réunions et meeting pendant toute la durée des élections législatives. Les abus policiers seront sanctionnés et le gouvernement passera des circulaires au sein des forces de l'ordre.
- L'Etat subventionnera les petits journaux, ou les journaux avec peu de tirages, comme "l'Humanité", par exemple, afin de préserver la liberté de la presse et la protéger des ingérences ou tentatives de corruption.

Beaucoup de grands magnats de la Presse s'inquiètent fortement de ces décisions qui reviennent à soutenir les mouvances opposées à la Républiques et leurs idées dangereuses. Ils trouvent toutefois peu d'écho dans l'opinion publique (Réussite du test d'unité nationale).

La subvention sera de 500 francs/ deniers / ducats / argent / machin chose.

Le Président du Conseil des Ministres Français, Astride Briand, est très inquiet. C'est un politique fermement opposé aux droits de grèves des fonctionnaires et aux coups de forces. C'est néanmoins un membre du parti radical de gauche, favorable aux réformes plutôt qu'à la révolution.

Le 1er janvier 1909, le gouvernement de l'époque procéda à la nationalisation de la Compagnie des chemins de fer de l'Ouest, afin de l'intégrer à l'Administration des chemins de fer de l'État. Depuis quelques mois, une colère soude mais présente se maintient, et si il n'y a pour l'heure aucunes grèves, le Président du Conseil craint le pire. C'est dans ce contexte qu'il invitera le socialiste Jean Jaurès à son bureau, afin de s'entretenir avec lui. Astride est conscient qu'une telle action risque de renforcer la position d'un tel personnage, mais le PduC estime qu'en laissant traîner les choses, il aura une crise majeure à régler. Et cette négociation risque d'avoir lieu dans le sang, ou avec des révolutionnaires. Aux yeux de la gauche radicale, discuter avec les réformistes est plus attirant. De plus, en négociant intelligemment, il estime pertinent de noyer cet embryon de grève avant qu'elle s'exporte dans les autres services.

Le PduC demandera à Jean Jaurès de l'aider dans le cadre d'une médiation et de l'éclairer sur les revendications de ces mécontents. Le Président du Conseil français est disposé à faire des concessions sur l’instauration d’un salaire minimum journalier de cinq francs.

L'instauration d'un tel salaire parmi les compagnies de voies ferrées serait effectivement de bon aloi. Cependant, Syndicalistes comme socialistes au parlement estiment que ce salaire minimum devrait être imposé dans toute l'industrie, et pas seulement dans les voies ferrées.

Séparons ces mesures en deux choix, le salaire minimum uniquement pour le ferroviaire et le salaire minimum pour tous les secteurs de l'industrie.

J'aurai besoin d'indications :

- Uniquement ferroviaire : Combien ça coûterait et mon parti radical soutiendra-t-il une telle mesure ?

- tous les secteurs : Combien ça coûterait et mon parti radical soutiendra-t-il une telle mesure ?

En ce qui concerne un salaire minimum pour les cheminots, la frange gauche et centrale du parti soutiendrait la mesure. Cela provoquerait probablement un affaiblissement de notre économie pour une durée probablement inférieure à 10 ans.

En ce qui concerne un salaire minimum national, seule une minorité de la frange gauche du parti soutiendrait la mesure. Cela provoquerait sans doute un ralentissement économique durable en France.

Le PduC laissera Jean Jaurès présenter le projet de loi à l'assemblée nationale. Pour l'heure, une large majorité du parti radical soutiendra la proposition d'un salaire minimum journalier de cinq francs uniquement dans le milieu ferroviaire.

Ainsi nous éviterons de froisser la droite du parti radical.

Wikipédia, sur le Taylorisme a écrit:

Entre 1911 et 1925, le polytechnicien Émile Belot construit une théorie à l'opposé du taylorisme, mettant en exergue l'importance de la composante « temps ». Cette approche dynamique de la production centrée sur le « principe de continuité » est, d'après François Vatin, « parfaitement d'actualité à l'heure de l'informatisation de la production ».

[1910] Audition d’Emile Belot devant le Parlement, Audit du Parlement des propositions suivantes :
NB : Ces mesures ne sont pas soumis au vote, c’est un audit.

Emile Belot est un polytechnicien Français, il est un administrateur à tendance « sociale », animateur de la Société de Saint-Vincent-de-Paul, il crée des jardins ouvriers et est parmi les fondateurs du cautionnement mutuel des fonctionnaires en 1908.

Emile fut l’un des détracteurs du Taylorisme. Il construisit une théorie à l’opposé du taylorisme, mettant en exergue l'importance de la composante « temps ». Cette approche dynamique de la production centrée sur le « principe de continuité ». Plutôt que d’exploiter les travailleurs avec un travail à la chaîne pénible, Emile Belot est favorable à l’utilisation des machines, à l’innovation et au roulement du personnel, afin d’optimiser les temps de production, même la nuit pour un meilleur salaire.

• Investissements publiques et privés dans du matériel et des machines.
  
• Production en continue, travail en équipes et en rotation (Deux-huit, Trois-huit, Quatre-huit).
  
• Innovation ingénierie et recherche.
  
• Organisation de rotations de postes, afin d'éviter l'affection morale et les divers troubles de santé.
  
• Dans le cadre d'un chômage relativement bas, les syndicats ouvriers et les patrons pourront se mettre d'accord dans le cadre d'horaires de travail supplémentaires, basé sur un relatif volontariat. Si un patron démontre un besoin vital de ces horaires de travail pour le bien être de son entreprise, les syndicats ouvriers devront trouver les volontaires nécessaires.
  

De cette manière, les machines et les postes de travail seront en permanence occupé, évitant les pertes de temps et de production. De plus, avec la mise en place de plusieurs équipes, nous pouvons espérer réduire le chômage. Le gouvernement sera disposé à entendre les syndicats et les socialistes afin de mettre en place des mesures sociales pour les travailleurs de nuits, comme l’instauration d’un salaire minimum égal à celui des cheminots.

Le gouvernement écoutera aussi les remarques et appréciations du patronat, qui devrait être ravi d’observer une hausse de la productivité. Si la hausse du salaire des travailleurs de nuit entraînera une hausse du coût du travail, la dites hausse sera compensé par la hausse notable de la productivité.

Concernant les applications de cette mesure. Il est évident que les besoins dépendent des corps de métiers, c’est pourquoi nous proposons la chose suivante :

• Les deux-huit seront appliqués, ou non, en fonction de l’appréciation des syndicats ouvriers et patronaux. Cette méthode concerne principalement l’industrie légère et artisanale.
  
• Les trois-huit seront appliqués dans le transport, notamment les services publiques et le secteur secondaire. Si la loi est adopté, elle sera adopté dans le secteur publique et laissé à l’appréciation des des syndicats ouvriers et patronaux des entreprises privés.
  
• Les quatre-huit et cinq-huit permettront une optimisation totale du temps de travail. Cette mesure nécessitera des ajustements sociaux importants mais permettra, en contrepartie, d’une production maximale et optimale. Là encore, l’application, ou non, de cette méthode de travail, sera laissé à l’appréciation, ou non, des syndicats ouvriers et patronaux dans les entreprises.
  

Le Gouvernement souhaite de retours et demandera à des patrons d’effectuer des tests de cette mesure afin d’estimer sa valeur. Les dits tests se feront sous contrôle de l’Etat et des syndicaux ouvriers et patronaux. Le gouvernement souhaite que les deux groupes syndicaux collaborent et mandatera Jean Jaurès, partisan de la collaboration entre prolétaires et patrons, pour présider cette étude et servir de médiateurs.

Ce sera lui, qui nous présentera le bilan de ces essais, les résultats de la médiation, ainsi que ses conclusions.

J'ai pas tout comprendu. Il faudra qu'on discute en vocal ^^.

Suspendu pour l'instant.

Afin de poursuivre la politique d'industrialisation de la France et de ses colonies, le gouvernement souhaite créer des fleurons publiques Français. Pour l'année 1910, le gouvernement autorisera la création d'une entreprise publique et allouera des subventions supplémentaires à une déjà existante.

• L’Administration des chemins de fer de l'État, société existant depuis 1878, elle disposera de 2 000€ et de 20 IC de subvention. Elle devra mener une politique de rachats et d'investissements dans d'autres sociétés françaises et y opérer des fusions. Pour l'aider dans cette tache, le gouvernement investira un capital de 1 000€ supplémentaires, réparti dans les sociétés que nous convoitons. Le gouvernement lui confiera aussi un contrat dans ses investissements dans les infrastructures publiques.
  
  
• Société National de l'Acier et de la Sidérurgie, société créé en 1910, elle disposera de 2 000€. Le gouvernement financera la création de 10 usines d'acier (50 IC) et 10 usines classiques (50 IC). Elle devra, elle aussi, appliquer une politique de rachats et de fusions. Nos travaux d'infrastructures devront permettre de relier nos dépôts et faciliter le fret.
  

Pour finir, le gouvernement souhaite investir dans 40 600 km de chemin de fer, plus 9 600 km de lignes d’intérêt local. 53 000 km de routes nationales et départementales, plus 540 000 km de chemins vicinaux. La qualité des infrastructures doivent être assez bonne.

Les travaux et l'investissement seront progressifs, le gouvernement allouera chaque années des crédits supplémentaires. Pour cette année, le gouvernement investira 2 000€ et 20 IC dans ce projet.

Ces infrastructures et ces usines nous permettrons de développer la zone industrielle de Saint Étienne, comprenant Saint Étienne même, Saint Chamond et Rive de Gier. Les deux dernières villes possèdent d'importantes réserves de charbon, charbon qu'on exploitera d'ici peu. Nos infrastructures devront prendre en compte cette futur production. La ville de Saint-Etienne accueillera nos dix usines, principalement des usines pour la Manufacture d'Armes de Saint-Étienne. Cette nouvelle zone industrielle deviendra un des poumons économiques et militaire de la France.

Ces trois villes sont des villes ouvrières.


Total :
- 7 000€
- 140 IC

- 10 usines d'acier
- 10 usines classiques

Tentative de création de deux fleurons nationaux.

Décrets sur la création de la "L’Administration des chemins de fer de l'État":

Décrets sur la création de la "Société National de l'Acier et de la Sidérurgie:

Décrets sur la modernisation des infrastructures:

Décret de Recrutement pour la Sûreté Nationale :

Milice de Défense National :

• Milice : 0,5 PI / 10 000 hommes / 60€
  
• Comp. de reco. : 1 PI / 300 hommes
  

Nombre : 20
Coût : 30 IC / 206 000 hommes / 1 200€


Division d'Infanterie :

• Infanterie : 1 PI / 12 000 hommes / 120€
  
• Compagnie du génie : 1 PI / 300 hommes
  
• Artillerie : 1 PI / 180 Hommes
  

Nombre : 10
Coût : 30 IC / 124 800‬ hommes / 1 200€


Division d'Infanterie d’Élite :

• Infanterie d’élite : 1 PI / 8 000 hommes / 180€
  
• Artillerie : 1 PI / 180 Hommes
  
• Compagnie de reconnaissance : 1 PI / 300 hommes
  
• Compagnie médicale : 1 PI / 300 hommes
  

Nombre : 3 (30 divisions*10%)
Coût : 12 IC / 26 340 hommes / 540€


Coût Total : 72 IC / 357 140 hommes / 2 940‬€

Nous avons fait de bons pas vers la constitution des Acieries de la SNAS et des Chemins de Fer d'Etat en fleurons industriels nationaux. Si nous poursuivons nos investissements, ils finiront par rapporter des dividendes à termes.

J'annonce l'envoi de 11 PI à l'Empire Ottoman (Notamment de l'artillerie lourde.)

Monsieur, nous n'avons pas ces ressources.

Le gouvernement a prévu, depuis longue date, d'organiser le 18 mai 1910, la première conférence internationale sur la navigation aérienne à Paris. C'est une conférence intergouvernementale, toutes les nations du monde sont invités à y envoyer une délégation. Les nouvelles technologies sur l'aviation, laisse entrevoir au gouvernement Français la nécessité d'établir des règles relatives à la navigation aérienne, notamment en ce qui concerne le droit d'aéronefs étrangers à survoler le territoire d'un autre pays.

De plus, nos invités pourront prendre part à des activités et animations, mais aussi des démonstrations de vols des meilleurs pilotes Français lors d’une manifestation aéronautique dans la ville d’Issy-les-Moulineaux, organisé à notre demande par l'Aéro-Club de France.

Cet événement devrait susciter un engouement populaire et faire la une des journaux.
Le Gouvernement alloue à cet événement la somme de 500 francs.

Citation :

Histoire de l’aviation – 1er juin 1910. De nombreux délégués étrangers ont fait le déplacement en France pour prendre part à la conférence internationale de navigation aérienne et ce mercredi 1er juin 1910, ils sont invités à venir voir des démonstrations de vol dans le cadre de l’organisation d’une manifestation aéronautique dans la ville d’Issy-les-Moulineaux dont l’Aéro-Club de France est à l’origine.

Plusieurs aviateurs vont ainsi prendre le chemin du ciel en ce 1er juin 1910 : Alfred Leblanc et Morane qui, pilotant un aéroplane du constructeur Louis Blériot, vont réaliser des vols planés, Audemars qui va passer son brevet de pilote avec succès, mais aussi Contenet, Maurice Clément, Obré et Mollien entre autres.

Atterrissant au centre du champ de manœuvres, après une descente en spirale, le pilote De Lambert s’est particulièrement illustré et a marqué les esprits, tellement que le service d’ordre a dû intervenir pour calmer certains spectateurs trop enthousiastes à la suite de sa magnifique performance, qui restera l’un des temps forts de la journée.

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Le gouvernement annonce la nomination de Théophile Delcassé à la tête du Ministère des Affaires Etrangères. C'est le fondateur de la Triple Entente et probablement l'un des meilleurs diplomate de l'histoire Française.

Tu seras autorisé à créer un événement dans la partie consacrée en Mai-Juin 1910 autour de ce festival.

J'annonce la construction de 4 forts à la frontière allemande pour 20 IC. (Je te ferai une carte plus tard)

La France fournira discrètement 10 IC d'armement à la révolution espagnole. C'est de l'armement classique, qui ne permettra pas de remonter à nous dans la mesure du possible.

Au cours d'un long discours à l'Assemblée Nationale, le Président du Conseil a fait part à ses collègues de la nécessité de défendre la Paix et la France face aux velléité des Allemands. Face à cette menace pour l'Europe entière, Astride Briand estime nécessaire et indispensable d'augmenter le service militaire d'un an, afin de le passer à 3 ans. Le Président du Conseil rassura néanmoins le Parlement, en assurant qu'il fera de ce qui est possible pour éviter la guerre, mais qu'en aucun cas il ne permettra qu'on bafoue la volonté du Peuple Espagnol.

Compte tenu du fait que la mesure est prise pour protéger des frères en lutte pour leurs droits, les socialistes à l'assemblée se contentent de s'abstenir. La motion passe.

Le gouvernement Français fournira 8 IC et  660 francs à la République d'Espagne afin de compenser l'aide apporté par les Allemands aux Royalistes.

Le gouvernement Français fournira 3 IC et  300 francs à la République d'Espagne et annonce le début d'un contrat de prêt bail.