République d'Argentine Reporter
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| Sujet: Ministère des Affaires Étrangères Mar 6 Aoû - 14:16 | |
| Ministère des Affaires Étrangères. C'est ici qu'auront lieux les différentes actions officielles, à l'étranger, des autorités bulgares Traités officiels en vigueur : _ Avec l'Empire Ottoman - Second traité de Berlin (1910):
- Empire Ottoman a écrit:
Second Traité de Berlin Traité de Paix entre l’Empire Ottoman et le Royaume Bulgare Art. 1 L’Empire Ottoman et le Royaume Bulgare annoncent mettre fin au conflit les opposants et la création de la province autonome Ottomane de Roumélie orientale (voir carte), l'Empire Ottoman en obtient la souveraineté. Le Royaume de Bulgarie reste l’investisseur potentiel principal en Roumélie orientale.
Art.2 Le Royaume de Bulgarie s’engage à payer des réparations de guerres à hauteur de 450 $ à l’Empire Ottoman.
Art.3 Le Royaume de Bulgarie stationne sa flotte à Varna. Le Royaume de Bulgarie ouvre le port de Varna à la marine impériale russe pendant 1 ans. Cependant, l’Empire de Russie informera le Royaume de Bulgarie de ses agissements à Varna.
Art.4 Le souverain de Bulgarie renonce à utiliser le titre de Tsar dans les relations internationales et se nommera désormais Roi de Bulgarie et des Bulgares. De plus, en cas de tension avec les Slaves de son empire, l’Empire Ottoman s’engage à contacter le Roi de Bulgarie afin qu’il serve de médiateur
Art.5 L’Empire Ottoman et le Royaume Bulgare s’engagent à ne pas contribuer à l’affaiblissement de l’autorité du pays quo-signataire sur son territoire et à ne pas envoyer de troupes sur le sol du pays quo-signataire ou dans ses territoires extranationaux sans l’accord préalable de ce dernier.
Art.6 Le Royaume Bulgare s’engage à renoncer à toute opération clandestine destinée à nuire ou à déstabiliser le régime ottoman.
Art.7 En cas de conflit entre les deux pays quo-signataires, l’Empire Ottoman et le Royaume Bulgare s’engagent à privilégier la voie diplomatique à la voie martiale. Si une solution diplomatique à leur conflit n’est pas trouvée, les deux pays quo-signataires s’engagent à faire appel aux garantes du présent traité, en tant que médiateur lors d’une rencontre diplomatique destinée à résoudre pacifiquement le conflit les opposant.
Le présent traité entre en application dès sa signature par les deux parties. Dès le début d’application du présent traité, les troupes des pays quo-signataires se trouvant sur le sol de l’autre pays quo-signataire disposent d’un délai de 72 heures pour rejoindre leur territoire. L’Empire Allemand, l’Empire Austro-hongrois, la République Française, le Royaume-Uni de Grande-Bretagne & d'Irlande et l’Empire Russe, médiateurs de la conférence de paix ayant abouti à ce traité, s’engagent à le garantir.
Carte présentant les provinces passant sous contrôle Ottoman (Roumélie Orientale)
Traités "non-officiels" en vigueur : - _ Traité secret entre l'Empire Ottoman et le royaume de Bulgarie:
- Citation :
- Art. 1 : Le roi de Bulgarie devient un protectorat ottoman. Le royaume de Bulgarie garde son armée et sa flotte. L'Ottoman à un droit de regard sur les activités militaires du royaume de Bulgarie.
La Bulgarie réaffirme son attachement aux accords régissant la Marine de guerre en Mer Noire, sa flotte continue d'exister (peut être augmenter) sans pour autant intervenir sur des théâtres d'opérations. Art. 2 : La Bulgarie garde la souveraineté sur ses relations internationales afin de respecter le seconde traité de Berlin. Par ailleurs, la Bulgarie s'aligne sur la politique extérieure ottomane. La Bulgarie peut agir afin de trouver des débouchés (dont l'Ottoman ne pourrait pas avoir accès) et que le Bulgare pourrait lui faire profiter. Art. 3 : La Roumélie orientale étant un territoire ottoman, le Sultan s'engage à nommer gouverneur les rois de Bulgarie successifs. Ce territoire sera militairement administré par le Sultan tout en déléguant les affaires civiles et économiques au gouverneur en place. Également, le port de Burgas devient un port franc co-gérer par les Ottomans et les Bulgares. Art. 4 : L'Ottoman se voit la possibilité de nommer le roi des bulgares « protecteur des minorités slaves de son territoire » afin de montrer une volonté de pacification des relations avec les populations slaves de son territoire et d'avoir recours, au besoin, de la médiation de ce dernier. Art. 5 : Le Bulgare se réengage à ne pas mener d'actions visant à troubler l'ordre public dans les territoires Ottomans. Il se désolidarisera des recours à la violences inutiles et favorisera le dialogue entre les Slaves et les autorités ottomanes.
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