Nationalismes et Révolutions
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 Décision et Décret

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John S-117
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MessageSujet: Décision et Décret   Décision et Décret Icon_minitimeJeu 8 Aoû - 13:48

Ici les Décisions et Décrets de l'Empereur du Soleil Levant !
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John S-117
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MessageSujet: Re: Décision et Décret   Décision et Décret Icon_minitimeJeu 8 Aoû - 14:33

Le Japon poursuit ses grand travaux en vue d'améliorer le rayonnement de l'Empire du Soleil Levant.

- Dépense de 10 PI pour le développement des Chantiers Navals du Japon
- Dépense de 5 PI pour le développement d'un réseau ferré nippon
- Dépense de 5 PI pour le développement d'un réseau électrique nippon.
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Empire de Russie
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MessageSujet: Décret impérial sur le statut des Coréens   Décision et Décret Icon_minitimeLun 23 Sep - 20:22

Décret impérial sur le statut des Coréens

Les Coréens sont destinés à devenir de fidèles sujets de l'Empire. Pour cela, il est nécessaire de fixer définitivement les droits et devoirs des Coréens. Ainsi, les Coréens seront assujettis aux lois japonaises, exceptés certains détails :

- Le droit de réunion est garanti. Il requiert l'approbation des autorités municipales ;

- Le droit de circulation est garanti sur l'ensemble du territoire des autochtones. En cas de voyage à l'étranger, il requiert néanmoins l'approbation des autorités administratives ;

- Le droit d'entreprendre est garanti. La création d'entreprise, peu importe son régime, nécessite cependant l'approbation des autorités administratives ;

- Le droit de vote limité est garanti. Les Coréens pourront participer dans deux ans aux élections des collèges des Yangban aux conseils municipaux. Si la constitution leur accorde de jure une autorité concrète, ces derniers ne seront que les agents d'exécution des préfets japonais, exerçant essentiellement un rôle consultatif et de représentation publique. Ils signeront tous les arrêtés préfectoraux que leurs supérieurs japonais jugeront utiles de leur faire signer.


Dernière édition par Empire du Japon le Mar 1 Oct - 21:31, édité 2 fois
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MessageSujet: Les lois Kinmochi sur l’enseignement en Corée   Décision et Décret Icon_minitimeMar 1 Oct - 21:13

Les lois Kinmochi sur l’enseignement en Corée

La Loi Kinmochi sur l’enseignement, ou plutôt les Lois Kinmochi, désigne une série de lois qui se mettront progressivement en place sur six ans. Elles visent à promouvoir l’instruction et à la rendre obligatoire. Le nouveau premier ministre est en effet soucieux de développer l'enseignement du peuple coréen et prend à cet égard de nombreuses mesures.

La première étape consiste à démocratiser l'instruction scolaire. Les communes de plus de 500 habitants devront construire deux écoles de filles et de garçons et un collège. La loi oblige aussi les villages à participer au financement d’une école primaire au minimum, et pour les villages de plus de 700 habitants un collège. Chaque communauté se doit d'avoir une école primaire de garçons et une de fille, un collège de garçons et une de fille et un lycée, et les plus grandes, une école supérieure qui préparera aux nouveaux examens Yangban - préparés par le rectorat nippon et les Yangban eux-mêmes. L’octroi de bourse est rendu possible pour les méritants et les foyers nécessiteux. À l'octroi de bourses s’ajoute bientôt la création de la Caisse des écoles, destinée à l'aide aux élèves issus de familles nécessiteuses.

La seconde étape consiste à valoriser l’enseignement primaire et maternel. Calqué sur le modèle scolaire japonais, le contenu des programmes est ainsi élargi en rendant obligatoire l'enseignement de la langue nippone, la musique, de l'éducation physique, de l’histoire et de la géographie. Les jeunes élèves de primaires verront ainsi les mathématiques, la grammaire, les cours de religion japonaise, l'éducation morale confucéenne nippone, l'histoire, la géographie, la musique et les cours d'éducation physique au cours de leur scolarité. L’enseignement du « Japonais » sera aussitôt mis en place dans le cycle des maternelles - fixé à trois ans -, durant lequel son apprentissage sera obligatoire. L’objectif est de japoniser la jeune Corée directement à la petite enfance, de manière à lui assurer les meilleures conditions de développement au sein du Grand-Japon.

La troisième étape consistera à valoriser le statut des instituteurs et des institutrices. Les femmes japonaises sont autorisées à suivre les études pour devenir institutrices. Les instituteurs seront maintenant présentés comme des «Gardiens de la Paix», meneurs du combat contre l’ignorance. Ces « Bushi de l’Instruction Impériale », ces « Samourai » porteront un uniforme noir. Leur uniforme noir à pantalon, gilet, longue redingote et casquette plate noirs devra paraitre être un uniforme civil encore plus sévère qu'un uniforme militaire. Une image de sévérité pour conserver l'ordre dans les classes et donner une impression de grandeur et de prestige. Les instituteurs devront porter ce même uniforme lors de leur première année d'enseignement puis devront se contenter de vêtements sombres, noir ou gris sombre, élégants et se rapprochant de cet uniforme pour le reste de leur carrière. Les études, pour devenir instituteurs, seront standardisées afin que chacun suive le même cursus évitant ainsi des disparités dans la méthode d’enseigner. De même, ils devront avoir une bonne et solide connaissance du « Bon Japonais », et non pas des patois.

La quatrième étape, renseigne sur le rôle du confucianisme et du shintoisme sur l’instruction publique au sein du système éducatif. Le shintoisme disposera du total monopole sur le cours de religion et le confucianisme japonais sur les cours d’éducation morale. Des prêtres shinto, ordonnés instituteurs, pourront aussi bien donner cours dans d’autres matières en conservant leurs vêtements de culte. Hormis le cours d’éducation religieuse, et en l’absence de prêtre passant les études pour devenir instituteur, ce seront des instituteurs civils qui prendront en charge l’instruction.

La cinquième étape cherche à renforcer l'enseignement professionnel. Le ministre Kinmochi crée également un enseignement secondaire « spécial » destiné à dispenser « une instruction appropriée aux besoins des industriels, des agriculteurs et des négociants » disposant d’un programme renforcé dans des disciplines plus utilitaires comme l'économie, les langues vivantes, les sciences industrielles, la comptabilité... Un enseignement «professionnel» disposant une formation permettant de trouver un métier est ainsi promulgué. Cet enseignement professionnel formera de futurs maçons, soudeurs, cheminots, charpentiers, menuisiers, gemmeurs, fermiers, éleveurs et jardiniers.

La sixième étape aspire à promouvoir l'enseignement féminin. Il est ainsi mis sur pied un enseignement secondaire à destination des jeunes filles coréennes. Ces cours, organisés par les municipalités dans des locaux appropriés et plus tard dans des collèges pour jeunes fille, ont pour objet de fournir aux jeunes filles de bonne famille une instruction différente de celle prodiguée dans les pensionnats (religieux ou laïques) et est prise en charge par les professeurs des différents collèges et lycées pour garçons ainsi que par des religieuses et religieux.  Les programmes suivent celui de l'enseignement spécial quelque peu réformé pour devenir "l'enseignement féminin". Ce programme abordera les sciences sous leur aspect pratique et expérimental, une étude poussée du confucianisme japonais, un cours de gymnastique, l'apprentissage poussé de l'écriture et de la lecture, l'apprentissage de l'entretien d'une maison et d'un foyer, des cours de premiers secours ainsi que de couture, de cuisine et de ménage. Les jeunes filles apprendront aussi à compter et auront des cours sur l’hygiène des hommes, des femmes et des enfants. Des institutrices, des prêtresses shinto et des professeurs féminins prendront en charge cet enseignement, même si la majorité reviendra aux prêtresses.

Les lois Kinmochi, en six étapes, donc, se mettront progressivement en place sur une période estimée à six ans et devront réformer l’instruction publique en Corée.
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MessageSujet: Création de l'organisation caritative "Heiwa to chōwa"   Décision et Décret Icon_minitimeMar 1 Oct - 23:10

Création de l'organisation caritative Heiwa to chōwa

Créée en Janvier 1911, l'organisation caritative Heiwa to chōwa est une association dite de bienfaisance et assimilable à une association d'utilité publique. Elle recevra des dons et des fonds versés par le pouvoir japonais. L'organisation Heiwa to chōwa est agréée par le bureau des affaires coloniales qui encadre l'envoi de volontaires au cours des missions humanitaires en Corée et le recrutement de personnels natifs. Les volontaires d'Heiwa to chōwa vont mettre leurs compétences au service de projets de développement mis en oeuvre par des partenaires locaux. Leur travail répond à un besoin réel, identifié par les populations locales elles-mêmes à travers des doléances transmises aux offices administratifs. Son action s’enracine dans les valeurs du confucianisme et de solidarités propres aux Japonais. Fondée sur l’option préférentielle pour les pauvres, elle est avant tout guidée par le souci du bien commun dans le respect du principe de solidarité et est orientée vers le développement intégral de l'individu, c'est-à-dire prendre en compte la totalité de l’être humain : ses besoins matériels, mais aussi sa croissance intellectuelle, culturelle, affective et spirituelle. L'organisation possède donc une triple mission : diffuser les valeurs japonaises (l'esprit nippon), établir un contact permanent, constructif et basé sur la confiance avec les populations pauvres de façon à conquérir leurs coeurs, et faire la promotion de l'idée d'une "communauté de race et de destin entre les peuples coréens et japonais" à travers la coopération, la production culturelle et la compréhension d'autrui.

Outre ces séduisantes constructions intellectuelles, l'organisation n'oublie en aucun cas l'aspect inexorablement pratique et essentiel de sa mission.

Les Coréens sont nombreux à vivre dans des conditions indignes et insalubres. Face à ces situations inacceptables, l'organisation financera des programmes d'éradication de l'habitat indigne, qui soutient notamment des opérations de rénovation de l'habitat conduites par ses partenaires associatifs, en s'assurant que les habitants soient associés au projet le plus possible. Sur tout le territoire, elle allouera des fonds à des projets de rénovation et de réhabilitation de l'habitat afin de permettre aux locataires et propriétaires en difficulté de vivre dignement dans leur logement. Dotée de résidences et d'immeubles aménagés, elle orientera ainsi son action prioritairement en direction des personnes vivant à la rue. Ces lieux d’accueil, animés par des groupes de volontaires et de religieux, vont ainsi ouvrir leurs portes aux nécessiteux : les personnes reçues peuvent se poser, se reposer, prendre une collation, se nettoyer, laver leur linge, être écoutées, orientées, accompagnées et converties à la foi shinto. Ces nouveaux lieux de vie, qui permettent à celles et ceux dont le parcours de vie a été chaotique, de reprendre confiance en l'avenir et de s’installer dans la durée, vont favoriser la réinsertion des personnes en situation de précarité. Dans ces résidences, la vie collective et l'intimité de chacun sont étroitement liées et préservées au quotidien.L’accès à un logement étant le point de départ d’une insertion dans la société et non l’aboutissement d’un parcours résidentiel trop souvent chaotique, l'organisation souhaite promouvoir à travers ce programme une politique d'harmonie sociale. Une dizaine d’associations faisant office de ramifications vont constituer ce nouveau réseau et piloter ce projet.

De plus, l'organisation va soutenir financièrement les associations qui accompagnent les ménages dans leurs démarches administratives et juridiques à travers un programme animé par des interprètes et des Japonais éduqués, volontaires pour ces missions. L'objectif est d'éviter les mésententes et les conflits futiles liés aux problèmes d'intérêts et d'intercompréhension nuisant à l'harmonie voulue.

Enfin, l'organisation va financer des opérations de promotion culturelle des habitants dans les quartiers en difficulté de manière à présenter la culture japonaise et la marier à la culture coréenne dans le but de la rendre accessible. Théâtre nô, expositions, micro-activités, actions solidaires... pour réduire les conséquences sociales de la pauvreté, l'organisation soutient les actions culturelles des habitants dans les quartiers dégradés ainsi que les projets artistiques conçus avec la participation de personnes en grande précarité et des projets de sensibilisation du grand public aux problématiques sociétales.

Cette main tendue au peuple coréen permettra-t-elle de favoriser ne serait-ce qu'un timide rapprochement ?
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MessageSujet: Re: Décision et Décret   Décision et Décret Icon_minitimeMer 2 Oct - 5:23

En Corée, cela permettra sans doute de faire en sorte que les Japonais soient un peu moins vus comme des conquérants, des envahisseurs et des oppresseurs. Au Japon en revanche, les Zaïbatsu, et un certain nombre de militaires avec elles, commencent à se dire que toute cette histoire en Corée coûte très chère, et que l'Empire investit beaucoup d'argent pour des peuples inférieurs du continent, quand le japon aussi abrite des pauvres et des indigent qui pourraient bénéficier de la charité de l'Empereur. Sans parler des promesses de richesse qu'offrait la Corée, et dont ils ont à peine vu quelques développement visant à l'exploitation économique de la péninsule ...
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MessageSujet: Re: Décision et Décret   Décision et Décret Icon_minitimeMar 8 Oct - 21:03

- Financement de l'application des lois Kinmochi : 2500 dollars (élevant ainsi nos investissements totaux dans le domaine éducatif en Corée à 6500 dollars).
- Financement de l'association Heiwa to Chowa : 1200 dollars.


Dernière édition par Empire du Japon le Mar 8 Oct - 22:12, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Décision et Décret   Décision et Décret Icon_minitimeMar 8 Oct - 21:50

Réforme agraire de Corée

Une réforme agraire semble désespérément nécessaire en Corée. Le système coréen de propriété foncière consiste en un système complexe de propriétaires absents, de propriétaires-locataires partiels, de cultivateurs saisonniers et de propriétaires traditionnels mais sans preuve légale de propriété. De ce fait, l’administration coloniale japonaise doit faire face à une situation délicate. Les administrateurs japonais devront libérer la paysannerie coréenne des obstacles féodaux et supprimer les privilèges exorbitants de la classe des grands propriétaires fonciers aristocrates avec laquelle l’autorité coloniale n’a d’ailleurs tissé aucun lien politique – à l’exception des Yangban qui bénéficieront d’un traitement favorable.

Première partie.

Trois phases sont définies :

1. Réduction de la rente foncière à 38 % du produit.

2. Mise en vente par petits lots des terres confisquées aux grands propriétaires méridionaux aux seuls Coréens. Des prêts fixés à des taux d’intérêts entre 3 et 5% seront proposés aux plus pauvres. Les terres agricoles en Corée septentrionale pourront néanmoins être vendues aux citoyens japonais.

3. Limitation de la surface d’un propriétaire à 3 hectares, expropriation et redistribution des excédents de terres aux paysans ; mise en place d’un système de haies généralisé matérialisant précisément les limites foncières et installation de multiples rangées d’arbres afin de limiter l’érosion des sols.

Ces différentes mesures doivent favoriser la réduction du nombre de métayers. Les petits agriculteurs en faire valoir direct deviendront majoritaires. Une large partie de la surface agricole utile est distribuée aux petits exploitants dans le but de donner au pays une structure d’exploitations plus égalitaire. Les anciens propriétaires rentiers obtiendront des indemnités modestes, mais recevront en compensation des actions des sociétés industrielles que le gouvernement a établies au Nord de la Corée, les transformant ainsi de force en capitalistes et les associant bon gré mal gré avec l’exploitation des ressources naturelles de la Corée.

Deuxième partie.

Cette réforme doit acter la fin de l’exploitation impitoyable des propriétaires fonciers qui aboutit à la famine, à la vente d’enfants, et à la réduction en semi-esclavage des travailleurs saisonniers. Cependant, le gouvernement colonial est bien conscient que le lopin de terre alloué à chacun permettait tout juste de survivre au prix d’un labeur acharné, et laisserait les paysans pauvres à la merci de la première mauvaise récolte. Si l’exploitation féodale est effectivement abolie, demeure le problème que pose la misère ambiante. Pour annihiler la misère, il faut accroître la production, produire plus, et pour cela, encore une fois, modifier les structures de la production, initier une seconde réforme. La production agricole ne peut se développer largement dans le cadre instauré par la réforme agraire car la production individuelle est nécessairement petite. La coopérativisation constitue la solution adéquate pour favoriser le développement des unités de production agricole.  La grande exploitation agricole communautariste démontre toute son efficacité si et seulement si la mécanisation accompagne l’effort de ses membres. Or, celui-ci nécessite que les coopératives disposent de ressources financières en quantités suffisantes pour se procurer des machines agricoles bon marché. Le but poursuivi par l’administration japonaise est donc condition de sa propre réalisation : les agriculteurs doivent s’enrichir au préalable pour s’équiper en machines-outils. La réforme pourrait s’arrêter ici mais non. Des prêts d’argent seront ainsi accordés aux coopératives afin qu’elles puissent se procurer les machines-agricoles convoitées. Des experts agronomes accompagnés d’interprètes fourniront aux agriculteurs des formations rapides de manière à les instruire sur les modes d’usage de ces engins. La mise en commun des outils et la coordination des tâches entre les hommes utilisant les mêmes méthodes que lorsqu’ils travaillent individuellement pourront permettre de dégager une énergie productive bien supérieure à la somme des forces vives qui les composent.

Troisième partie.

La troisième partie du décret traite exclusivement de la finalité et l’organisation des coopératives.

Vision générale du projet des nouvelles coopératives:



Le programme suivant met l’accent sur l’amélioration des conditions de vie, sociales et culturelles, des agriculteurs coréens, sur leur maîtrise de leur environnement à travers l’apprentissage des nouvelles méthodes de production agricole, de la valeur du travail, de la coopération, de l’autonomie, ainsi qu’à travers une coopération étendue, volontaire et active des membres des communautés paysannes. Les administrateurs nippons vont se focaliser sur la nécessité des villages à se prendre en charge. La réforme agraire, étendue à tout le pays, sera appuyée par des investissements gouvernementaux et devra s’attaquer à la mentalité traditionnelle des paysans. Il faudra en effet d’abord affaiblir l’esprit clanique et ouvrir les campagnes à la modernisation de l’équipement et des techniques. Des structures nouvelles seront édifiées. Dans chaque village paysan seront élus tous les ans deux représentants, un homme et une femme, deux représentants des coopératives qui devront composer avec les assemblées paysannes. Ces derniers dirigeront l’organisation du travail et répartiront les tâches entre les membres de la communauté. Ils auront aussi pour rôle de diffuser l’esprit « nouvelles coopératives » ; pour ce faire, ils recevront une formation pilotée par les responsables politiques et experts agronomes japonais. Les principaux objectifs des coopératives sont d’ordres pragmatiques : éducation des paysans, initiation aux techniques modernes de culture, amélioration des systèmes d’irrigation des rizières, développement du réseau routier. L’aide du gouvernement colonial permettant de soutenir les coopératives est répartie en fonction des besoins de chacun. Ainsi seront distingués en tenant compte de leur niveau de développement, trois types de villages : Les sous-développés, ceux qui sont en voie de développement et les villages au développement avancé. Les coopératives des premiers nécessiteront une assistance financière accrue pour leur permettre l'amélioration de leurs infrastructures et de leur environnement immédiat. Dans le cas de ces derniers, l’accent sera porté sur l’éducation pour former leurs dirigeants. Les seconds, reconnus capables, bénéficieront d’une aide financière afin de les encourager dans l’accomplissement de leurs projets. Les caisses des coopératives recevront des subventions.

En outre, le gouvernement colonial fournira une quantité fixe de matières premières à chacun des villages participants et chargeant les habitants de construire ce qu'ils souhaitent avec. Le gouvernement sélectionnera d'abord un certain nombre de villages à qui il fournit ~ 300 sacs de ciment. Les villages ayant fait preuve de succès recevront ensuite des ressources supplémentaires de 500 sacs de ciment et d'une tonne de barres de fer pour les soutenir.

Coûts estimés de la réforme : 3000 dollars (Financement des enquêtes cadastrales, des processus administratifs, des formations, des caisses des nouvelles coopératives et des prêts fonciers aux paysans).
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MessageSujet: Re: Décision et Décret   Décision et Décret Icon_minitimeJeu 10 Oct - 20:28

L'opération est très bien accueillie dans les villages Coréens. Dans les coopératives, on constate cependant que ce sont des organisations de gauche qui émergent très largement majoritaire des scrutins électoraux. A ces derniers s'opposent les anciens leaders claniques, et les féodaux, toujours très riches du fait du capital accumulé, et des relations sociales établies par le passé. Ces derniers sont relativement opposés à l'autorité centrale nippone, et développent un discours anti-modernité, et anti-japonais, considérant la colonisation et l'assimilation culturelle et scientifique nippone comme une négation de la tradition et de l'identité Coréenne.

(Perte d'un point d'unité nationale).

L'autre conséquence négative, c'est que la main d'oeuvre est absorbée par cette réforme agraire qui risque de rendre l'industrialisation de la péninsule plus compliquée.

Enfin, sur un plan plus positif, la prospérité des campagnes s'améliore largement, et d'importants excédents sont attendus dès l'année prochaine. Ces coopératives peuvent désormais être considérés comme un fleuron de l'industrie nippone.
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MessageSujet: Re: Décision et Décret   Décision et Décret Icon_minitimeMer 16 Oct - 14:28

Réforme agraire du Japon

Tout comme la Corée, le Japon manifeste le besoin d’une réforme agraire d’envergure, laquelle acterait une bonne fois pour toute la suppression des anciennes structures foncières de type féodale et favoriserait le développement d’une agriculture capitalistique et productiviste. L’actuel premier ministre, Kinmochi, a conscience des obstacles qui peuvent se dresser à l’instauration de cette réforme. Les élites japonaises sont très attachées au passé ; et une nouvelle redistribution des terres, malgré de bons sentiments, pourrait susciter une levée des boucliers de la part de la noblesse. Loin d’adopter les atours du « révolutionnaire », du « parfait nippon occidentalisé », Kinmochi clamera haut et fort son attachement aux valeurs du passé en insistant sur le dévouement inconditionnel à la nation, le sens de l’intérêt général, ainsi que sur un mariage de raison fondé sur une réciprocité d’intérêts.

Première partie

Cette réforme fait ainsi écho à la politique de natalité réalisée par les autorités nippones. En effet, contrairement aux prévisions japonaises, l’investissement en capital démographique s’avère un placement très contestable. L’accroissement des denrées agricoles produites ne suit pas celui des populations. Ils en résultent disettes, famines, émeutes de riz, contestations sociales, revendications politiques, et affaissement économique, alors que les forces démographiques, stimulées par un dynamisme vital, prolongent dans l’avenir une continuité, tel un tsunami que l’on ne saurait retenir. Le surpeuplement ne peut être combattu que par une série d’investissements intensifs agricoles et industriels. Les grands nobles doivent consentir à mettre leurs importants revenus au service de la rentabilité sociale, au service de l’intérêt général, au service de l’idéal de la « Grande famille japonaise ». De plus, les mécontentements populaires peuvent être exploités par des démagogues ou des aventuriers politiques, seuls la compétence, la sagesse, l’habileté, la subtilité des hommes d’états japonais doivent prévenir quelque heure de désespoir, quelque explosion sociale. A ceux qui attribuent l’origine de cette réforme aux « influences insidieuses » propagées par l’Occident dominateur dans le cœur même de l’intelligentsia japonaise, les responsables politiques favorables à cette mesure rappelleront que l’idéal d’une réforme agraire a au contraire longtemps été au centre des préoccupations politiques nippones. Ainsi, au VIIe siècle, le volet foncier des réformes dites de l’ère Taika (littéralement, « grande réforme ») en 645 avait placé les rizières sous le contrôle direct de l’État. Ce dernier s’arrogeait en outre le droit de procéder à la répartition équitable des rizières à des paysans en mesure de les exploiter, tout en conservant la propriété effective du sol, qui redevenait la propriété de l’Empereur lors du décès de l’exploitant. Cette politique qui s’inspirait clairement de celle mise en pratique sous la Chine des Sui (581-618), puis au début de la dynastie des Tang (618-626), avait jeté les fondements de l’essor culturel survenu durant l’ère Heian. Quoique nos connaissances sur le régime de propriété foncière au Japon antérieurement à cette mise en place soient fragmentaires, dès le milieu du xe siècle, la propriété privée du sol était devenue largement majoritaire. La réforme de la propriété foncière continua par ailleurs de transparaître dans les textes bien après cette date, ce qui laisse à penser que cet événement, bien que lointain, a laissé des traces dans les mentalités japonaises jusqu’à nos jours. La réforme de 645, réglementée en 701 par le code Taihô, remise au goût du jour en 1873, sera entièrement complétée en 1911.

Au crépuscule de l’ère Meiji, la propriété foncière en milieu rural est encore empreinte des structures féodales. Pire, plus des trois cinquièmes de la population japonaise travaillent toujours dans l’exploitation des forêts, la pêche, et dans l’agriculture. 36% des fermiers possèdent moins de 10% des terres qu'ils cultivaient, 32% entre 50 et 90% et 27% plus de 90%. Les rentes en nature, versées à des propriétaires généralement absentéistes pour des exploitations d'une surface moyenne d'un hectare, s'élèvent à 60% des récoltes. En outre, la population rurale, en plein expansion démographique, qui souffre de disettes régulières faute d’une agriculture productive, devient sensible à l'influence des groupes militaires et ultra-nationalistes. Cette alliance circonstanciée entre la paysannerie défavorisée et la caste militaire, d’autant plus surprenante alors que cette dernière lui a dénié pendant trois siècles de nombreux droits, est source d’inquiétudes.

Ainsi, l'autorité japonaise, craignant un renouveau d'agitation dans les campagnes similaire à l’époque Tokugawa, va prendre une série de mesures pour convertir les fermiers en cultivateurs propriétaires.

- La nouvelle loi exproprie les propriétaires absents et non exploitants et n'autorise les autres propriétaires de terres affermées à ne conserver qu’un hectare de terre cultivable. Exception faite seulement pour trois hectares à Hokkaido.
- Mise en place d’un système de haies généralisé matérialisant précisément les limites foncières et installation de multiples rangées d’arbres afin de limiter l’érosion des sols.
- Réduction de la rente foncière à 35% du produit.
- L'excédent de terres sera racheté par le gouvernement et revendu aux fermiers selon un prix assis sur la valeur locative.
- Toute transaction sera gelée pendant trente ans, ceci afin d'empêcher la reconstitution des grands domaines de jadis.

De généreuses compensations financières (égales à 90% du produit annuel distribuées pendant quatre ans, aux frais de l’état), des réductions d’impôts (maintenues pendant cinq ans, égales à une diminution des charges fiscales globales à 20%) et une distinction honorifique (qui accordera entre autres aux intéressés des priorités en cas de traitement administratif) seront accordées aux propriétaires expropriés, qui accomplissent un devoir de sacrifice au nom de la nation. Des actions seront en outre versées aux ex-propriétaires dans les mines coréennes, à titre perpétuelles. Les propriétaires expropriés sont en outre vivement incités à tourner leurs énergies vers l'entrepreneuriat et les activités industrielles : des réductions fiscales seront entre autre attribuées aux Zaibatsu qui embauchent prioritairement ces hommes braves qui acceptent de sacrifier leurs revenus initiaux au bénéfice de la paix sociale.

Seconde partie

Vision générale du projet "Teikoku Nokai":

Face à cette impérieuse nécessité, l'association agricole impériale (帝国農会, Teikoku Nokai) est fondée. Elle constitue l'organisation centrale des coopératives agricoles au Japon. Le mouvement populaire orchestré en Corée par les autorités coloniales sera d’ailleurs adapté aux réalités japonaises mais conservera les contours de cette politique. Les fonds consacrés au soutien des coopératives seront répartis en fonction des besoins de chacun. Trois types de villages seront distingués : Les sous-développés, ceux qui sont en voie de développement et les villages au développement avancé. Les coopératives des premiers nécessiteront une assistance financière accrue pour leur permettre l'amélioration de leurs infrastructures et de leur environnement immédiat. Dans le cas de ces derniers, l’accent sera porté sur l’éducation pour former leurs dirigeants. Les seconds, reconnus capables, bénéficieront d’une aide financière afin de les encourager dans l’accomplissement de leurs projets. Les caisses des coopératives recevront de plus des subventions régulières.

Les autorités ministérielles compétentes fourniront ainsi une quantité fixe de matières premières à chacun des villages participants et chargeront les habitants de construire ce qu'ils souhaitent avec. Le gouvernement sélectionnera d'abord un certain nombre de villages à qui il fournit ~ 300 sacs de ciment. Les villages ayant fait preuve de succès recevront ensuite des ressources supplémentaires de 500 sacs de ciment et d'une tonne de barres de fer pour les soutenir.

En outre, une nouvelle technique originaire de Malaisie sera bientôt introduite : l’élevage de carpes en association avec la riziculture. La présence des carpes dans les rizières réduit de deux tiers les pesticides et un quart les fertilisants recommandés. Les carpes permettent de surcroît de lutter efficacement contre la magnaporthe grisea, un champignon affectant le riz, ou d’autres parasites comme la cicadelle brune. Elles consomment un certain nombre d’insectes et d’invertébrés susceptibles d’attaquer le riz. Ce nouveau procédé apporte de surcroit une alimentation et un revenu additionnels, optimise les ressources existantes abandonnées ou sous-exploitées, permet de conserver le patrimoine héréditaire de précieuses espèces locales, n'implique aucune dépense additionnelle, à moins que le système ne soit modifié par la construction de tranchées ou par le renforcement des digues, et ne comporte aucun changement important dans les activités habituelles de la coopérative agricoles.

Troisième partie

Les objectifs des nouvelles coopératives agricoles japonaises sont multiples.

1 – Maintenir une fiscalité adaptée (impôt sur les sociétés agricoles, contribution économique territoriale…) au niveau de développement des villages.

2 – Faire des membres de la collectivité agricole les acteurs du développement de leur projet coopératif. Les associés coopérateurs décident ensemble en assemblée générale ou délèguent à leurs administrateurs. Pour que les coopérateurs dynamisent leur coopérative, il est essentiel de les former, de les informer et de les amener à élaborer leurs décisions pour adapter la coopérative aux changements de l’environnement socio-économique et pour saisir des opportunités de création de valeur. Des manuels d’agronomie rédigés en un langage clair et direct seront mis à la disposition des agriculteurs japonais.

3 – Apporter une lisibilité économique et sociale à leur projet coopératif pour toutes les parties prenantes : associés coopérateurs, salariés, partenaires industriels et commerciaux, financeurs externes, collectivités territoriales et consommateurs. Les administrateurs ont tout intérêt à motiver les associés coopérateurs à la vie des filiales principales par une animation spécifique et éventuellement encourager les agriculteurs à injecter leurs ressources financières dans l’achat des machines-agricoles.

4 – S’ajuster à la demande des marchés de matières premières agricoles, d’ingrédients et de produits de consommation à l’intérieur de l’Empire. C’est la condition indispensable à la réussite économique : entrevoir les changements de l’environnement, notamment de ses fournisseurs et des ses clients.

5 – Financer des services locaux, proches des consommateurs. La coopérative peut continuer à maintenir des services locaux, même si des économies d’échelle exigent une organisation centralisée. Cela facilite la proximité des associés coopérateurs avec leur coopérative et contribue à les motiver pour les activités de leur coopérative. La concentration des moyens et la décentralisation de leur déploiement sont nécessaires et compatibles.

6 – Mener des stratégies productivistes – par la réduction des coûts et par l’innovation – en aval des filières, y compris des implantations industrielles agro-alimentaires, seul ou avec d’autres des coopératives et de plus en plus souvent des entreprises non coopératives. Les coopératives font des alliances en mutualisant :

1. Leurs métiers en amont (semences, fertilisants, produits phytosanitaires et de santé animale).
2. Des métiers en aval de l’agriculture (commercialisation de produits agricoles aux industriels ou à l’international, investissements industriels et commerciaux très lourds en capital).


Financement de la réforme et des coopératives : 3000$ (Financement des enquêtes cadastrales, des compensations attribuées aux propriétaires expropriés, des processus administratifs, des formations, des manuels d'agronomie, des matières premières, des caisses des nouvelles coopératives, et des prêts fonciers accordés aux paysans).


Dernière édition par Empire du Japon le Jeu 17 Oct - 19:20, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Décision et Décret   Décision et Décret Icon_minitimeJeu 17 Oct - 17:44

Dans l'ensemble, les compensations semblent satisfaire les propriétaires. Mais il faudrait doubler le budget pour percevoir les effets sensibles d'une telle réforme.
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MessageSujet: Re: Décision et Décret   Décision et Décret Icon_minitimeJeu 17 Oct - 18:54

Teikoku Nokai

Après commandes à l'entreprise Yuzo, les autorités japonaises prennent la décision d'équiper en machines-outils les coopératives agricoles, pour 3000$.

Financement total du projet : 6000$.
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MessageSujet: Re: Décision et Décret   Décision et Décret Icon_minitimeSam 2 Nov - 17:44

Instauration de l'impôt sur le revenu

Cette fin d’année sera marquée par l'instauration de l’impôt sur le revenu, établi d'après le montant total du revenu net annuel dont dispose chaque foyer fiscal. Cette politique, inspirée des mesures fiscales occidentales, aspirent à :

1) Etablir une fiscalité équitable et plus efficace, tenant compte des réalités de chaque foyers dans le but d’apaiser les tensions sociales.
2) Promouvoir une politique de natalité en mettant en place des réductions fiscales en fonction du nombre d’enfants.

Cet impôt frappera le revenu net global du contribuable, constitué par le total des revenus nets des catégories suivantes :

– Revenus fonciers ;

– Bénéfices industriels et commerciaux ;

– Rémunérations, d'une part, des gérants majoritaires des sociétés à responsabilité, des gérants des sociétés en commandite par actions et, d'autre part, des associés en nom des sociétés de personnes et des membres des sociétés en participation ;

– Bénéfices de l'exploitation agricole ;

– Traitements, salaires, indemnités, émoluments, pensions et rentes viagères ;

– Bénéfices des professions non commerciales et revenus y assimilés ;

– Revenus de capitaux mobiliers ;

– Plus-values de cession à titre onéreux de biens ou de droits de toute nature ;

Ce revenu net, déterminé en fonction des propriétés et des capitaux que possèdent les membres du foyer fiscal, des professions qu'ils exercent, des traitements, salaires, pensions et rentes viagères dont ils jouissent ainsi qu'aux bénéfices de toutes opérations lucratives auxquelles ils se livrent, sera soumis à certaines déductions

- De la situation personnelle des intéressés, suivant qu'ils sont célibataires, mariés ou soumis à imposition commune, veufs, divorcés ou séparés ;

- Du nombre de personnes fiscalement à leur charge ;

Cependant, d’autres exceptions sont prévues par la loi. Ainsi, les jeunes couples mariés bénéficieront de réductions par tranche de 3% par enfant, maintenues pendant 5 ans et cumulables à chaque naissance, perpétuelles s’ils atteignent le sixième enfant. Les réductions seront fixées à 8% à partir du septième enfant, inclus. La mesure intéressera fortement les couples issus des strates paysannes et ouvrières, réputées pour leur dynamisme démographique.

Financement de la loi : 402$.

Nota Bene : Considérant que le déroulement de cette réforme se prolongera sans doute jusqu'en 1912 et que la somme suffisante pour la mettre en oeuvre n'est probablement pas atteinte (les enquêtes et les recensements fiscaux coûtant leur pesant d'or), est-ce que tu pourrais me déduire les coûts totaux de mon budget sur les prochaines statistiques ? J'ajouterai 500$ de plus.
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MessageSujet: Re: Décision et Décret   Décision et Décret Icon_minitimeDim 10 Nov - 22:07

Création de la fédération des coopératives artisanales nippo-coréennes

C’est un fait attesté que les produits issus de l’artisanat traditionnel japonais trouvent leur succès à l’export, plus précisément dans les marchés européens. On ne saurait nier l’engouement du grand Occident pour la porcelaine, les kimonos, les estampes et autres menus bibelots fabriqués dans les ateliers nippons. Pourtant, plusieurs freins font obstacles à l’expansion du secteur artisanal. D’abord, la perte des savoirs-faire, consécutive à l’instauration de la Révolution Meijii, qui s’est traduite par une baisse de qualité notable des produits manufacturés japonais ; ensuite, le manque d’intuition mercantile des artisans ; et pour finir, leur absence d’organisation. Le pouvoir japonais, conscient de cette réalité et souhaitant consolider cette importante source de revenus, va mettre en place une réforme audacieuse partiellement inspirée des coopératives agricoles.

I – Introduction

La constitution des coopératives permettrait aux artisans japonais et coréens d’améliorer leurs performances économiques en apportant une réponse collective à leurs besoins individuels, par la mise en commun des ressources et des outils de production. La coopération entre artisans, entre agents économiques unis par des intérêts convergents, est de nature à favoriser le développement des activités productives des associés par des gains de temps et de productivité, offrant la possibilité de conquérir de nouveaux marchés ou des parts de marchés. Les entreprises coopératives appartenant à une même famille vont ainsi se fédérer afin d’être représentées et de disposer d’un ensemble de ressources, de conseils et d’assistance propres à leur activités.

II – Définition du projet

Il s’agira d’un regroupement d’entreprises et d’individus dont les membres seront immatriculés au répertoire des métiers, et dont le but sera de promouvoir l’activité artisanale.

Les coopératives d’achats, de commercialisation et de services constitueront les principaux types de groupements d’artisans. La mise en commun des moyens permettra aux artisans d’obtenir et de maintenir leur accès direct aux marchés, d’améliorer leur compétitivité par la maîtrise de leurs approvisionnements, d’accéder à des technologies de pointe par la mutualisation des ressources, équipements et capacités.

• Les coopératives d’achat, qui permettent aux artisans de déléguer la fonction achat à leur coopérative et ainsi de bénéficier de meilleurs tarifs, de disposer de stocks externalisés, disponibles et gérés par la coopérative et de gagner du temps au niveau des négociations avec les fournisseurs. Elles nécessiteront un nombre considérable d’associés : 40 sont requis à la création, pour évoluer vers une centaine et ce afin d’être dans la fonction principale de groupement des achats et en conséquence de réaliser des gains sur les prix.

• les coopératives de commercialisation, dans lesquelles les artisans se réunissent pour répondre ensemble à des marchés qu'ils n'auraient pas pu obtenir individuellement et éviter ainsi la sous-traitance,- les coopératives de services et de production, qui permettent à des artisans d'investir en commun dans des points de vente et outils de travail dans le but d'améliorer leur productivité et de développer leurs débouchés commerciaux.

• Les coopératives de construction (maçons), composées d’une équipe opérationnelle réunissant les différents corps de métier de la construction.

• Les coopératives du savoir-faire, où les instructeurs et les artisans compétents transmettront plus facilement, dans un cadre formalisé, leurs savoirs et leurs enseignements.

Naturellement ces fonctions ne sont pas restreintes et une coopérative peut remplir plusieurs d'entre-elles. Le concept, d’essence démocratique, postule que « toute société coopérative artisanale est créée par les artisans, gérée par les artisans, au service des artisans ». Les sociétés coopératives artisanales peuvent être anonymes (SA) ou à responsabilité limitée (SARL), et sont immatriculées au répertoire des métiers et au registre du commerce et des sociétés. Les coopératives relèvent de l’économie sociale et ont vocation à :

- Réduire le prix de revient ou le prix de vente des produits ou services pour les artisans ;

- Améliorer la qualité marchande des produits fournis ;

- Contribuer à la satisfaction des besoins de leurs membres, à la promotion de leurs activités économiques, ainsi qu’à leur formation ;

- Disposer d'une veille technique, de services d'études mis en commun ;

- Accéder à l'innovation ;

- Adapter le régime fiscal : les résultats ne sont pas imposables au niveau de la coopérative (sauf pour le résultat provenant de tiers non-associés), mais au niveau des entreprises associées ;

- Réaliser des gains de temps sur la fonction achat ou sur celle de commercialisation, afin d'acquérir un avantage substantiel ;

- Mettre en place la mise en commun des activités périphériques à l'activité de production et de service, de façon à permettre aux artisans de se concentrer sur le coeur de leur métier.

La gestion des coopératives est démocratique et se fonde sur un principe d’égalité des droits : « Un associé égale une voix », quels que soient la date d’entrée, le capital détenu et le montant des opérations réalisées.

En outre, l’affection des bénéfices sera déterminée par deux modalités :

- Renforcer les fonds propres par la constitution de réserves financières. Les réserves sont impartageables et garantissent la pérennité de la coopérative et le choix d’investissements durables ;

- Répartir la part des revenus distribuables au prorata des opérations de vente réalisées par les associés avec leurs entreprises.

III – Conditions d’entrées et obligations

Le membre d’une coopérative de travail est lié à celle-ci par un certain nombre de liens économiques. Ces liens sont réciproques : le membre (travailleur et co-propriétaire) est soumis à un certain nombre de devoirs envers la coopérative qui satisfait ses besoins.

- L’obligation d’apporter, sur la demande de la coopérative, le ou les moyens de production réclamés (machines, outils, matériaux, locaux), qui sera remboursée par la coopérative dans les conditions convenant aux deux parties ;

- L’obligation de payer une part sociale dont le montant dépend du salaire mensuel moyen, ce paiement pouvant être étalé sur plusieurs échéances.

Les entreprises appartenant aux coopératives s’engagent à utiliser de manière prioritaire les services de la coopérative et à participer à sa gestion. D'un point de vue juridique et financier, lorsque l'artisan adhère à une coopérative, il souscrit des parts sociales, dont le montant est très variable selon la taille et l'activité de la coopérative. Il immobilise donc du capital qui renforce les fonds propres de la coopérative, capital qu'il récupérera lorsqu'il décidera de quitter la coopérative. Il n'y a aucun contrat d'engagement dans la durée dans les coopératives d'artisans où l'on applique le principe de "porte ouverte". La coopérative artisanale n'est jugée que sur le "service rendu" aux adhérents, c'est l'exigence qui garantit la réussite du modèle, en retour de l'engagement des artisans. Sur le plan concurrentiel, les coopératives sont encadrées par la définition stricte du sociétariat, par la limitation de l’objet, et par le principe d’exclusivisme. C’est-à-dire que l’activité économique de la coopérative est réalisée obligatoirement par les associés, avec une tolérance de 20% du chiffre d’affaires réalisé avec des tiers non-associés.

IV - Mise en place des colloques artisanaux nippo-coréens

Le Japon profite de cette occasion pour rapprocher conquis et conquérants. Simultanément à l'instauration de cette nouvelle organisation économique, un nouveau dispositif sera établi à la fois dans la péninsule et l'archipel : la création de colloques semestriels où des sommités japonaises et coréennes en matière de savoir-faire ancestraux se rencontreront et tiendront salon où ils pavoiseront et converseront en présence d'interprètes. Ici, point de compétitions qui aboutissent aux conflits personnels. L'occasion est de favoriser le croisement des techniques, des points de vue tout en mettant en avant la parenté entre l'art japonais et l'art coréen, et de préserver par là-même un héritage civilisationnel commun : celui de l'Asie orientale. Une revue financée par l'Etat (Teikoku no geijutsu to gijutsu) sera tenue et publiée à la fois en Japonais et en Coréen, de manière à éclairer les deux peuples sur leurs coutumes et leurs aspects communs.

Financement de la mesure (Subvention aux colloques, à la revue, aux centres de formation aux apprentis, aux caisses des coopératives, dans les locaux des coopératives, et dans les charges administratives relatives à ces dernières) : 3500$.
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MessageSujet: Re: Décision et Décret   Décision et Décret Icon_minitimeMar 12 Nov - 16:41

Ces coopératives vous octroient un nouveau fleuron national.
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MessageSujet: Re: Décision et Décret   Décision et Décret Icon_minitimeMar 12 Nov - 20:17

Plan de développement des logements sociaux

« Jusqu’à maintenant, l’idée ne pouvait venir aux classes aisées qu’elles eurent à user de ménagements envers les masses, tant celles-ci semblaient taillables et corvéables à loisir. Or, depuis quelques années, la situation tend à se retourner. Par suite de la multiplication effrénée des êtres humains, par suite de l’extension des besoins qu’entraîne ce dynamisme vital, par suite de l’essor des techniques, par suite de la diffusion des idées socialistes – auxquelles nos compatriotes ne sont en outre guère insensibles, le prolétaire est en passe de devenir pour la bourgeoisie un adversaire que rien n’arrêtera dans la foulée de ses revendications, un adversaire que nous devons contenir, juguler, endiguer, maîtriser par tous les moyens. Pour cela, l’homme de bonne société s’avise que, dans son propre intérêt, il doit surveiller sa conduire, mesurer les conséquences de ses décisions et prendre en considération les réalités qui sont celles des classes inférieures. Multiples sont les motifs que nous avons de prendre fait et cause envers leurs intérêts. Premièrement, en défendant les indigents, nous défendons le Japon, satisfaisant notre devoir patriotique et sauvegardant ainsi l’intégrité de son patrimoine. Nous privons nos adversaires d’un moyen d’attirer à eux nos malcontents. Ensuite, il existe le point de vue des plus patriotes d’entre nous, qui, soucieux de la préservation des caractères spécifiques à notre glorieuse race, n’admettent pas que nous jetions nos compatriotes dans les bras décharnés de la pauvreté et que s’amenuise l’immense potentiel humain dont notre nation dispose ; et il y a également les socialistes, les humanistes, ceux qui adhèrent à l’idée « d’une grande famille japonaise » qui ne se résoudront jamais à lire le désespoir sur les visages de nos compatriotes, tandis que d’autres mènent une existence de facilités, d’abondance. La défense de nos pauvres est chose malaisée quand on se heurte à l’indifférence ou au scepticisme, quand surtout on a contre soi tous ceux qui, par cupidité, donnent aux convoitises personnes la primeur sur l’intérêt commun et l’harmonie sociale. C’est une tâche d’importance à laquelle ce siècle naissant nous convie, l’un des enjeux les plus graves, les plus urgents, les plus importants, j’ai nommé : l’extinction du paupérisme. » - Prince Kinmochi au cours d'une réunion à la Diète impériale.

Parmi les lois qui ont contribué à éradiquer la pauvreté dans l’archipel, aucune d’entre elle ne concerne le secteur du logement social, du moins jusqu’à maintenant. Quatre lois seront introduites dans le corps civil japonais.

La loi Kosun autorise à présent la Caisse des dépôts et consignations de consentir des prêts à des organismes privés, créés en vue de construire des habitations à bon marché. Cette loi signe la création des Sociétés d’Habitations à Bon Marché (H.B.M.) qui servira de première base à celles qui vont suivre.

Une grande enquête généraliste est aussitôt lancée sur les conditions de logement des Japonais. Réalisée dans le cadre du recensement général de la population, elle dressera un rapport complet sur la situation. Le résultat, peu reluisant, révèle qu’une grande partie des Japonais habite dans des taudis absolument insalubres. Une seconde loi est promulguée cette année, la loi Fujimoto qui étend le champ d’application de celle de la loi Kosun, à savoir que toute construction susceptible de bénéficier des aides légales prévues dans celles-ci doit, d’abord, se faire délivrer un certificat de salubrité. En outre, fait notable : cette loi permet aux sociétés coopératives à intervenir dans le logement social. Les sociétés de crédit immobilier sous forme anonyme sont également autorisées. La loi Sanmei autorise les communes à faciliter la réalisation d’habitations collectives à bon marché sous forme locative, permettant ainsi la création d’Offices Publics d’Habitations à Bon Marché. Désormais, les collectivités territoriales peuvent consentir des prêts aux sociétés d'H.B.M, leur vendre des terrains ou des constructions à prix réduits, ou bien encore garantir leurs emprunts. Sera ensuite formalisée la loi Hachiba, premier engagement chiffré de l'État en faveur du logement social. En effet, grâce à cette loi qui autorise des prêts à longs termes et à faibles intérêts, l’Etat s’engage à construire 400 000 logements en cinq ans dont 130 000 HBM autour de Tokyo. Le texte apportera des aides considérables pour l’accession à la propriété comme pour le locatif, notamment en matière de fiscalité avec des réductions d’impôts à la clef. L’objectif de cette loi est de permettre aux couples et familles pauvres d’accéder massivement au pavillon et de ceinturer les principales villes japonaises.

Et pour finir, banquiers et industriels philanthropes seront invités à déployer leur bienfaisance en direction des "classes inférieures" de la société" afin de mériter le ciel dans le cadre d’une caisse consacrée aux dons, Jizen kikin.

Financement des prêts immobiliers à moyen et long terme (locations et achats) dans le cadre de la réalisation de la loi Hachiba : 2500$.


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MessageSujet: Re: Décision et Décret   Décision et Décret Icon_minitimeMar 12 Nov - 20:19

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MessageSujet: Re: Décision et Décret   Décision et Décret Icon_minitimeJeu 12 Déc - 0:47

Plan de développement des logements sociaux

Acteurs économiques mobilisés :

- Zaibatsu Asano
- Entreprise Seitetsusho Yūzō
- Coopératives artisanales japonaises
- Entreprise Hirada

I – Présentation du projet

Mobilisant des secteurs entiers de l’économie impériale, la réalisation du présent projet nécessitera cinq ans de supervision au cours desquels des logements seront construits, loués et achetés, et ce afin d’accorder aux futurs ménages japonais des conditions d’existence suffisantes. Des ceintures d’immeubles et d’habitation bon marché seront édifiées à proximité des métropoles nippones, conditions de l’expansion économique de l’Empire.

La Zaibatsu Asano et la Seitetsusho Yuzo fourniront l’acier, le goudron, le ciment, les briques et le matériel de construction, tandis que l’entreprise Hirada enverra ses ingénieurs, ses architectes et son personnel encadrer les activités des coopératives de maçon mobilisés pour accomplir les diverses tâches qui leur sont confiées, ainsi que ses commerciaux pour réaliser les actes de vente qui s'ensuivront.

II - Utilisation de l’acier

La popularité de l’acier dans la construction résulte de sa polyvalence, sa résistance, sa durabilité, son potentiel esthétique, sa capacité à s’allier à d’autres matériaux et l’application de techniques industrielles dans la construction. Le secteur de la construction au sens large, emploiera un acier standardisé et normalisé pour la réalisation des ouvrages architecturaux mentionnés. Il est un élément essentiel qui sert pour former le squelette des bâtiments, armer le béton, renforcer les fondations. Utilisé pour la tuyauterie, il habillera en outre les façades et les toitures.

Les caractéristiques mécaniques naturelles de l’acier (rapport élevé résistance/poids notamment) autorisent en outre la création de structures porteuses légères qui permettent de gagner de l’espace habitable pouvant atteindre jusqu’à 7% des surfaces comparé à d’autres solutions. En outre, une importante longévité est assurée grâce à l’emploi d’alliages ou de nombreux systèmes de protection contre la corrosion. Associé à des solutions d’isolation externe, les déperditions seront très fortement réduites, limitant les besoins de chauffage. Pendant la phase de construction de ces bâtiments, l’utilisation de l’acier offre également de nombreux intérêts parmi lesquels :

1) Préfabrication et rapidité d’exécution

Le bénéfice de l’industrialisation est pleinement utilisé, l’organisation du chantier est plus efficace, les  délais de mise en œuvre sont raccourcis et maîtrisés.

2) Diminution des nuisances de chantier

Comparativement à d’autres solutions, les chantiers utilisant l’acier sont plus silencieux, plus propres, génèrent moins de poussière et peu de déchets. La construction métallique qui appartient à la filière sèche, ne nécessite pas d’eau. Cette dernière évite les écoulements, les fuites et les risques de pollution atmosphérique qui lui sont associés. L’emploi de l’acier limite également es besoins de stockage et l’emprise du chantier, ce qui est particulièrement appréciable en milieu urbain dense.

3) Evolutivité des ouvrages

Un bâtiment acier, caractérisé par une structure poutres et poteaux et son absence de murs porteurs facilite des interventions ultérieures pour remodeler les espaces en fonction des usages et de l’évolution des modes de vies des habitants et des besoins des occupants des immeubles.

4) Sécurité sismique

La ductilité de l’acier est un atout majeur en cas de tremblement de terre.

5) Gestion de la fin de vie

Une déconstruction propre. Une construction en acier peut se démonter en toute sécurité et proprement. Les constituants du bâtiment sont plus facilement séparés et aisément récupérés grâce à une filière parfaitement organisée.

6) L’acier et la protection de l’environnement

Les co-produits générés par sa fabrication (laitiers de haut fourneau, scories) sont facilement valorisés dans la filière construction : l’industrie cimentière, la construction de chaussées, les ballasts. L’acier peut se recycler indéfiniment et à 100% sans altération de ses qualités…

Financement total du plan : 6000$ et 35 PI.
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