Les exercices militaires conjoints risqueraient de beaucoup trop attirer l'attention selon les ambassadeurs, et trahirait l'alliance des trois pays. Une coopération trop forte pourrait faire supposer aux Alliés occidentaux comme orientaux que le Bénélux est une menace, et donc déclencher une attaque préventive à laquelle ni l'un, ni l'autre ne souhaitent s'exposer.