Commerce romain

Ici aura lieu le commerce romain.

Nous proposons dès à présent un accord au Conseil de Massilia.

Une route commerciale maritime serait ouverte entre Massilia et le Latium inférieur. Elle serait financée à raison de 60 derniers par Massilia et 40 par Rome. Cette dernière fournirait en revanche dix effectifs pour sa construction.

Nous proposons également à Massilia de procéder avec Rome a une harmonisation de leurs législations commerciales. La simplicité de nombre de règles romaines devrait considérablement faciliter pareille entreprise.

Massilia accepte à condition que les coûts de construction soit répartis de manière équitable.

Il s'agirait donc de 50 deniers payés par chacune des parties et d'une main d'oeuvre fournie par Rome uniquement ? Si c'est cela nous acceptons.

HJ : pour l'harmonisation ça coute un décret (ou demi décret. . .) ou pas ?

Cela couterait un décret à Massilia. Pour l'heure, les Phocéens ne sont pas sûr de vouloir d'un tel décret. Ils espèrent que ce dernier ne conditionne en rien l'ouverture de la route commerciale.

Il ne conditionne pas l'ouverture de la route commerciale mais il facilitera sans nul doute sa prospérité dans des échanges amenés à croître.

Alors la route serra ouverte selon les termes pré-établis. Massilia reviendra vers vous le moment venu.

La République romaine propose à la Ligue Achéenne l'ouverture d'une route commerciale Brindisi (Apulie)-Ligue Achéenne.

Cette route serait financée à hauteur de 65 deniers par les achéens et 35 deniers par les romains. Les romains fourniraient l'intégralité des effectifs. Nous proposons ce règlement car le Sénat pense que la Ligue achéenne aurait fort besoin de ses effectifs si elle venait à souffrir d'un ennemi alors que ceux-là même ne permettent guère de dépenser beaucoup d'argent dans sa défense : ils sont insuffisants pour qu'une très forte somme d'argent permettre de recruter des troupes.

Rome serait prête à passer un traiter d'alliance avec la Ligue achéenne.

La proposition est acceptée.

Nous proposons un accord commercial au Royaume Dalmate ainsi qu'au Royaume du Pont et à Pharaon dont la grandeur se chante par delà la mer.

Un léger abaissement des taxes est proposé à la Ligue achéenne. Il ne s'agit là que de la continuation d'un accord déjà entériné avec la création de la route commerciale.

Ces trois nations acceptent.

Un accord de commerce est proposé aux rhodiens.

Rhodes accepte.

Le Sénat romain propose un accord commercial à la Macédoine.

Le Sénat romain propose un accord commercial à la Macédoine ainsi qu'à l'Epire.

Moi, Démétrios II de Macédoine, fils du feu roi Antigonos II Gonatas, Roi de Macédoine fait transmettre au Sénat romain le message suivant:

Citation :

Le Royaume de Macédoine et moi même en ma qualité de roi et guide du peuple macédonien est heureux de recevoir des nouvelles du Sénat romain. Des nouvelles loin des tensions qui existent entre Rome et le royaume de Macédoine.
Nous sommes heureux de voir que le nouveau consul saches regarder un temps soit peu vers la Macédoine et non vers las seuls rivaux de notre royaume. Aussi le comportement romain et cette proposition nous rassure un minimum quand aux intentions romaines à notre égard.

Cependant, un tel accord n'engage à rien. Ainsi, nous espérons que cet accord sera tot ou tard suivant d'un autre bien plus engageant, ne serait-ce que sur le plan marchand.

Nous acceptons donc !


Concernant l'Epire, c'est en notre nom de souverain et hegemon que nous nous exprimons.
Ainsi, nous préférons d'abord observer avec attention la portée des accords liant Rome à la Macédoine avant de permettre le développement d'accords entre l'Epire et Rome...

Démétrios II de Macédoine.

Le Sénat romain propose un accord commercial à la Macédoine ainsi qu'à l'Epire.

Nous réitérons notre message. Pour l'heure, en notre qualité de suzerain, nous ne proposons que des accords entre le royaume de Macédoine et Rome.

Concernant l'Epire, il faudra faire preuve de patience et faire les preuves d'un commerce fructueux et de relations amicales et pacifiques.

HJ : Mon internet bug à mort, le message est passé deux fois.

Les Consuls et le Sénat de Rome accusent bonne réception du message et, considérant que le premier pas vers des relations fructueuses a été franchi par Rome, agirons en conséquence. Les Consuls et le Sénat attendent naturellement du L'Hegemon de Macédoine et des peuples de l'Hellade la réciproque à ce qu'il a demandé en matière de commerce fructueux, de relations amicales et pacifiques.

Les Consuls tiennent à ajouter qu'un commerce se faisant directement depuis l'Epire serait un avantage pour la Macédoine et les marchands pour des questions logistiques. Les côtes sont en effet plus proches.

Les accords signés entre la Macédoine et l'Epire ne font en aucun cas référence à la politique commerciale Epiriote. L'Epire est encore libre de choisir lui-même ses partenaires commerciaux. Ca on ne le lui a pas volé. Et il serrait très heureux d'établir des relations commerciales avec la République Romaine.

En ce cas Rome accepte l'acceptation épiriote mais souhaite s'assurer que les macédoniens seront en mesure de transiter par les ports d'Epire pour leur commerce.

Antigonos III Doson, entrant en fonction depuis peu, avoue n'aprécier que peu les libertés que s'octroient les épirotes qui restent vassaux et sous protectorat macédonien, devant suivre la politique macédonienne...

Cependant, ô nom des relations naissantes que nous entretenons avec Rome nous acceptons de passer par les ports épirotes. Bien entendu, en vassaux, les Epirotes ne devront nullement taxer les marchands macédonien et leur octroyer des privilèges commerciaux.
C'est le moins qui puisse etre fait après l'insolence dont fit preuve le roi d'Epire...

Le Commerce n'a rien à voir avec la Diplomatie. L'Epire ne renoncera pas de si tôt à ses droits en temps que nation. Surtout lorsque la Macédoine les impose par la terreur.

Le roi-régent, Antigonos III Doson, fait savoir que ce n'est pas parce qu'il tient son pouvoir de la régence, le temps que le jeune Philippe grandisse et prenne en force et vigueur que son autorité et sa volonté sont faibles !

Nous soupçonons le roi d'Epire de tenter de profiter de la situation actuelle du royaume ce qui est considéré comme un manquement grave du comportement qu'un vassal est censé tenir... Nous ne serons pas sans l'oublier...

Le Sénat de Rome ne désire pas voir deux de ses partenaires commerciaux se disputer. Ceci est nuisible à la paix et au bon commerce. Il semble au Sénat que les accords de vassalisation de l’Épire n'envisageaient que l'alignement de la compétence diplomatique. La compétence commerciale épiriote demeurerait donc épiriote.

Il est de notoriété publique que le commerce de biens a une tendance naturelle au développement le plus important possible, notamment en s'internationalisant. Par conséquent l'exercice d'une compétence commerciale externe en ce qu'elle est nécessaire au développement d'une compétence commerciale interne selon l'adage "in foro interno, in foro externo "ne sert-il pas au contraire l'effet utile du traité de paix liant la Macédoine à l’Épire et ne contribue-t-il pas à la paix ? D'autant plus que les marchands, épiriotes comme macédoniens, s'enrichissant, feront croître la richesse de l'Hellade en permettant l'importation de bonnes denrées romaines tout comme les ressources helléniques profiteront à Rome. Une telle relation serait de nature à rapprocher les trois nations pour la plus grande gloire de l'Hegemon de Macédoine et du Roi d’Épire.

Il ne faut pas perdre de vue également que le commerce depuis l’Épire est plus rentable pour les marchands, la côte et le port de Brindisi, place commerciale notable, sont proches et en mesures d'accueillir les navires de commerce de l'Hellade et le font déjà pour certaines cités. Rome propose à l’Épire pour le développement du commerce macédonien un abattement de 5% de droits douaniers à tout navire provenant d’Épire accostant à Brindisi.

Enfin le Roi de Macédoine, depuis le temps, est-il toujours régent d’Épire ? Le jeune roi a depuis longtemps atteint l'âge de régner et seul le Conseil de Régence peut se prononcer sur la capacité du Roi d’Épire à régner sur ses terres.