Commerce de l'Émirat de Cordoue

Des propositions de traité commerciales sont envoyé aux États suivant:

-Tulaytulah
-Ben Qasi
-Pampelune

Tout trois acceptent.

L'Émirat de Cordoue envoit des propositions de traités commerciales aux Royaumes de Salerne, du Bénévent et de la Provence. Une proposition est aussi envoyé à l'Empire Byzantin (Sardaigne).

L'Émir croit que l'établissement de relations commerciales aide à promouvoir la paix et la bonne entente, malgré les différences culturelles et religieuses et espère que les seigneurs Chrétiens pensent comme lui. Puisque les Chrétiens sont des gens du livres (Corran), les Andalouzes leur doient respect et de ce fait, les aider à entretenir une atmosphère de paix et de bonne entente dans toute la région du pourtour Méditéranéen.

La Principauté de Salerne accepte l’offre généreuse de l’Émirat de Cordoue.

En effet, le Prince de Salerne est d’accord avec l’Émir pour dire qu’un commerce fructueux est le meilleur moyen d'entretenir de bons rapports. Cette idée lui paraît d’ailleurs si bonne qu’il compte envoyer des propositions semblables à d’autres peuples méditerranéens !

L'Émir Abd Allah ben Muhammad est heureux de voir que les nobles Salernitains pensent comme lui et qu'ils essaient de promouvoir la paix et les échanges autour de la mer méditéranée. Mais l'Émir met en garde le Roi Guaimario que les Berbères du Magreb et de l'Ifrigiya (des Chiites) sont nettement moins tolérant envers les gens du livre (Corran). Ils ont par le passé brûlé des Églises Chrétienne en Ibérie et au Magreb (lors de l'invasion de l'Ibérie il y a 200 ans). Et l'Émir ne parle par des Kharidjites de Tahert et dont la doctrines considère les Sunnites et les Chiites comme des infidèles, ainsi que tout les gens du livre (Juifs et Chrétiens) et prône le massacre des infidèles, mais aussi de leurs femmes et enfants, chose aux yeux de l'Émir innaceptable. Alors, l'Émir demande au Roi de Salerne d'être prudent avec ceux-ci.

Le Bénévent refuse. La Provence accepte et l'Empire accepte également.

Le Prince de Salerne vous remercie pour cet éclaircissement. Si il se rappelle toujours des raids commis par les sarrasins, d'Ifriqiya et de Sicile, sur la Principauté il y a encore dix ans, ces informations sur les différences entre confessions musulmanes le conforte dans son choix de commercer avec vous.

Un bureau commercial est installé à Alexandrie pour un coût de 1000 Dirham.