Question Environnementale

Citation :

Communiqué Général aux membres des nations unies.

Émetteur : Secrétariat Général des Nations Unies

Honorables représentants,

A la demande de la Présidence Brésilienne, une session de l'Assemblée Générale a été convoquée sur la question de l'environnement. Madame la Présidente Dilma Roussef a en effet exprimé son souhait que l'ensemble des pays du monde prennent des dispositions claires et justes sur la Question.

Monsieur le Secrétaire Général ajoute donc naturellement que ces résolutions devront être transparentes.

C'est naturellement le représentant Brésilien qui exposera et annoncera la séance en premier.

La Scéance débutera le 17 juin 2020 et se poursuivra sur plusieurs jours si nécéssaire.

En souhaitant vous retrouver nombreux à l'occasion de cette séance,

Monsieur le Secrétaire Général,

La Présidente, Mme Dilma Roussef, se présenta à la tribune, le jour dit du 17 juin 2020, pour ouvrir les débats.


Messieurs les Représentants,

Si j'ai fais porté cette question environnementale, devant vous aujourd'hui, c'est parce que nous sommes dans une période cruciale pour notre planète. Comme vous le savez sans doute déjà, nos scientifiques, sur toute la planète, ont tiré plusieurs fois la sonette d'alarme en ce qui concerne l'état de l'environnement, et des ressources naturelles de notre planète.
D'après toutes nos instituts géologiques, les réserves de pétrole ne tiendront pas au rythme actuel plus de cinquante ans. Que ferons nous alors, on en sera notre économie. Et je ne parle même pas du réchauffement climatique et des rejets de CO2 inquiétant.
Messieurs nous dirigeons ce monde, il est peut-être tant de mettre en oeuvre une politique qui permettra à nos petit-enfant et à nos arrière petit enfant d'en profiter. Le Brésil compte résolument s'engager dans la voie d'une nouvelle économie, plus respectueuse de l'environnement. Afin qu'un jour, dans plusieurs siècles, nos héritiers puissent dire, en 2020, l'ONU à sauver la planète, elle nous à permis de vivre aujourd'hui.
Il est temps de prendre des décisions concrètes. Le Brésil propose de mettre en avant des recherches de nouveau procéder moins pollluant dans tout les secteurs de l'économie. Nous savons que beaucoup d'Etat sont capable de mener ses recherches. Nous comptons de notre coté, lancer des programmes ambitieux dès l'année prochaine. Nous appelons le monde à prendre des décisions maintenant et à les respecter.

L'on applaudit poliment, un nouveau round en matière environnementale était en train de débuter. Le Japon, à la pointe du progrès en la matière et souvent hôte de telles conventions, disposait d'atouts technologiques majeurs et d'intérêts bien réels en la matière, aussi devrait-on se montrer intelligents et progressistes. Mais avant toutes choses ne devait-on pas produire l'ordre du jour ? Il revenait au Brésil, initiateur de la réunion, de proposer.

Alors même que le plénipotentiaire japonais posait la question, des agants de la Présidente Dilma Rousseff passait dans les rangs pour produire l'ordre du jour, imprimé bien entendu sur du papier recyclé et recyclabe avec de l'encre écologique. Sur cet orde du jour, on pouvait lire :

1) De la question des ressources énergétiques
2) De la question des ressources en eau
3) De la pollution par les transports
4) De la pollution industrielle
5) De la bonne gestion des autres ressources.

L'Assemblée générale fut donc réunis sur demande du Brésil, jeune puissance en montée. L'Allemagne envoya pour la représenter une petite délégation composées entre autres du tout jeune diplomate Willrich Scharzfeld, récemment nommé par la chancelière. A l'âge de 33 ans, ce dernier eut l'immense honneur de participer à ce congrès. Les Allemands eux attendait toujours l'ordre du jour alors que de nombreuses personnes applaudissées, pour faire bonne figure, les Allemands imitèrent leurs camarades. L'Allemagne observa soudain des agents de la Présidente Dilma distribuer l'ordre du jour, imprimé sur du papier recyclé et recyclable. Après avoir lu attentivement, l'Allemagne attendit que quelqu'un ouvre les débats.

Bien commençons d'abord par le premier point, la question des ressources en énergie nécessaires au fonctionnement de la société humaine. Comme vous le savez sans doute tous, le Brésil à d'hors et déjà décidé de se tourner en grande partie en direction d'un nouveau type d'énergie. Les biocarburants, malheureusement elle ne peut être une énergie miracle, il faut penser à trouver de nouvelle source et en attendant, faire attention à nos stocks de pétrole et de gaz, les stocks de pétrole devrait d'après nos informations, pas duré plus d'une cinquantaine d'année, et il est question d'augmenter drastiquement la production d'énergie pour faire face à la demande.

Madames, Messieurs, je n'ai aps besoin de vous le redire, nos énergies pollue actuellement beaucoup, il est nécessaire de penser aux énergies de demain, car sinon, nos enfants, nos petits enfants, seront obligé de revivre l'époque préindustrielle, car ils n'auront plus de ressources en énergie, ou alors ne seront pas, car nous aurons rendu la planète invivable.

Mes services ont effectués une études préliminaire sur le sujet. Les biocarburants peuvent être une partie de la solution, ils nous appartient de trouver une moyen de découvrir les autres.

L'ambassadeur Saoudien arriva en retard à l'assemblée de l'ONU. Des affaires urgentes l'avaient appeler autre part, et c'est essoufflé qu'il arriva dans la salle où avait lieu la réunion, accompagner de la délégation Saoudienne. Il arriva juste à temps pour écouter le discours de l'ambassadeur Brésilien, et compris immédiatement sur quoi porter la réunion.

Citation :

Tout cela est bien beau, monsieur l'ambassadeur Brésilien, mais vous semblez oublier quelque chose d'essentiel : le biocarburant coûte cher à produire, donc coûte cher à acheter. Mon gouvernement n'a pas les moyens financier pour faire des recherches sur les énergies propres, tout en maintenant à leur niveau actuel les dépenses publiques, ainsi que les dépenses pour la santé, pour l'éducation etc. De plus, il faut disposer de moyen technologiques conséquents pour faire de telles recherches. Croyez-vous que mon gouvernement ne dispose de telles moyens technologiques ? L'Arabie Saoudite est complètement laisser sur le côté par les gouvernements occidentaux ! Vous nous haïssez parce que nous faisons monter les prix du pétrole, mais comment faire pour que notre population jouisse de la richesse, autrement que comme cela ? Vous ne nous aidez pas, vous ne faites rien pour nous. Nous nous débrouillons comme nous le pouvons. Si vous forcez le monde à passer à des énergies plus propre, en laissant encore une fois l'Arabie Saoudite sur le côté, du fait de nos manque de moyen et de technologies, alors notre peuple n'aura vraiment plus rien. Est-ce donc ça que vous voulez ?

En plus de cela, si jamais nous arrivions à développer les énergies propres, nos citoyens ne pourraient jamais y accéder, du fait de leur manque de richesse. Mon gouvernement serait alors à moitié ruiner, il devrait distribuer gratuitement ce qui l'a ruiner, ce qui amènerait l'Arabie Saoudite au désastre économique de grande ampleur. Seriez-vous prêt à détruire un pays, à briser une population pour que votre population vive mieux ?

C'était dit. L'ambassadeur Saoudien avait raison : le gouvernement Saoudien ne disposait ni des moyens financiers, ni des moyens technologiques pour développer les énergies propres. Et même s'il y arrivait, jamais les Saoudiens ne pourraient s'en procurer. Voilà une belle impasse...

L'ambassadeur Saoudien a raison sur un point: les biocarburants sont particulièrement couteux à développer. Peu de ce pays sur la planète peuvent se permettre un tel développement du fait de ce fort cout. De même, n'oublions pas que les grandes puissances industrielles de notre temps ont su bénéficier de technologie polluantes pour assurer leur industrialisation. De ce fait, ne serait-il pas injuste de priver les autres nations de ce monde les moins développer de ces industries qui sont encore de puissants moteurs de croissance à bas cout au nom de la cause environnementale. Cela ne profite qu'au nation ayant déjà atteint un certain seuil de richesse et nuit gravement au développement des autres. Là et le probleme et c'est là qu'il nous faut trouver une solution équitable.

Sur ce, nous avons tout de même une question pour le représentant Saoudien qui fustige en ce lieu le monde occidentale: cela n'est-il pas déplacer de parler de la richesse de votre population sous-disant freiner par le "monde occidentale" alors que c'est vous même qui depuis des décénnies préféraient maintenir une élite nobilière ayant la main-mise complète sur la totalité des ressources de votre pays ? Nous sommes ici pour parler de la question environnementale, nous pour résoudre l'ancestrale conflit créer par le monde arabo-musulmans depuis quelques années... Reprenons-nous donc et travaillons pour trouver une solution !